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Journaliste
Passionné de football depuis son plus jeune âge, devenir journaliste sportif est vite devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme la Formule 1 et la NFL.
Battu sur sa pelouse par l’OM samedi (1-3), le RC Lens s’est montré très en colère contre l’arbitrage, après le but refusé à Rémy Labeau-Lascary pour une faute sur Bilal Nadir au début de l’action. Pierre Dréossi, directeur général des Sang et Or, a râlé en zone mixte, estimant que ce n’est pas la première fois que son équipe est lésée.
La défaite contreÀ PROPOS a du mal à avancer Objectif RC. Alors qu’ils étaient menés 2-1, les Lensois pensaient avoir égalisé Rémy Labeau-Lascary en fin de match, avant que son but ne soit refusé après intervention de l’assistance vidéo en raison d’une faute sur Bilal Nadir au début de l’action. sera toujours a exprimé son mécontentement lors d’une conférence de presse, faisant référence au comportement duÀ PROPOS à la mi-temps, et Pierre Dréossi a également pris la parole pour dénoncer les erreurs d’arbitrage dont le Objectif RC est, selon lui, victime depuis le début de la saison.
Le coup de gueule de Dréossi contre l’arbitrage
« On a eu de la frustration pendant un moment parce que je me souviens encore de la victoire de Lille, du penalty à Strasbourg, et aujourd’hui j’ai l’impression qu’à chaque fois qu’on marque un but ou qu’il y a une action litigieuse, on avait une peur bleue du VAR. . Je veux dire stop, on ne peut pas nous enlever des points comme ça et ne rien dire. Je ne suis pas contrarié, mais je pense que le score est de 2-2 ce soir. Je pense que contre Lille, le score est de 0-0. On se pose beaucoup de questions. Quand on marque des buts, j’aimerais qu’on respecte les buts qu’on marque », a déclaré Pierre Dréossidans des commentaires relayés par Marché aux pieds.
« Il faut savoir dire stop »
Le directeur général de Objectif RC a continué : « Il n’y a pas de quoi pleurer, mais ça fait beaucoup depuis le début de la saison. Et je pense que ce soir, encore une fois, encore une fois de trop, je ne dis pas qu’il n’y a pas de faute quand l’arbitre revient à la faute, mais il y a eu beaucoup de fautes qui n’ont pas été sifflées. Des fautes ont été sifflées et les interprétations sont malheureusement souvent controversées. Je ne sais pas ce qui se passe, mais en tout cas, force est de constater que c’est une sensation très très désagréable. Être juste, c’est bien. Être gentil, c’est bien. Mais à un moment donné, il faut savoir dire stop. Et puis je vais dire stop. »
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