Louis Chedid
Album : Rêveur, rêveur
« J’écris et compose des chansons depuis un moment maintenant, en les arrangeant dans mon home studio à l’aide de guitares, de pianos, de synthétiseurs ou d’instruments virtuels.
A chaque fois que je me lance dans une nouvelle aventure discographique, je me demande si je pourrai gravir cette montagne, mais surtout si j’en profiterai encore. Parce que si vous n’éprouvez pas ce sentiment, cela ne sert à rien d’essayer.
Mais non, je suis toujours agréablement surpris par l’excitation qui m’envahit lorsque je joue de la guitare ou du piano, lorsque je trouve une mélodie qui m’accroche ou lorsque je gratte le papier à la recherche de ces mots qui feront sonner les sons. notes que j’ai composées.
On me dit souvent : « Avec le métier que tu as, tu n’as plus rien à prouver ». Je leur dis que c’est tout le contraire.
Chaque nouvel album doit être mesuré à l’aune de chansons comme « Hold-up, La Belle, T’as beau pas être beau, So-so-it, Les absents ont toujours tort, Anne, ma sœur Anne, Tu peux compter sur moi, Nous ne dis jamais assez aux gens qu’on aime qu’on les aime, tout ce qu’on veut dans la vie“.
La barre est de plus en plus haute. Et pouvoir sauter n’est pas une mince affaire.
Heureusement, le plaisir, le désir et le désir nous sauvent des affres de la création. Cette idée de découvrir la perle rare. Faire la chanson qui touchera profondément mes pairs, qui les fera bouger, sourire, danser, réfléchir aussi. Cette chasse au trésor m’excite toujours autant. J’irais même jusqu’à en dire de plus en plus.
Pour « Rêveur, Rêveur ». J’ai écrit une quarantaine de chansons en deux ans et j’en ai jeté 70 %.
Amour chanceux
Album : Je m’en fiche si ça brûle
La musique de Lucky Love est saluée dans le monde entier par des millions de fans et des icônes comme Lana Del Rey et Sam Smith. Un an après la sortie de son EP Tendresse et du single Masculinity, le chanteur et compositeur français livre son premier album. I Don’t Care if it Burns, titre du disque, est un recueil de chansons en anglais où la voix de Lucky Love se laisse emporter par une chorégraphie de sentiment.
Lucky Love en live Côté club – « Masculinité »
3 minutes
Palimpseste musical nostalgique et moderne, I Don’t Care if it Burns sonne comme une chanson d’amour ponctuée de rythmes rapides et de notes pointillistes, une suite musicale de décors cinématographiques lumineux composés sous le ciel violet de Los Angeles, où Lucky Love a repris résidence.
Lucky Love en live Côté club – « Plus heureux tout seul »
2 minutes
La pop anglo-saxonne se conjugue aux gospels langoureux et la musique des clubs berlinois côtoie les instruments acoustiques, les grosses batteries et les boîtes à rythmes pour servir des fragments d’un discours amoureux qui irradie d’un parfum d’universel.
Les nouveautés de Marion Guilbaud aux sons de Gwizdek, Caroco et Terrenoire
5 minutes
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