News Day FR

“Le score est dur, mais pour gagner contre Paris, il faut être clinique…” L’analyse de Carles Martinez Novell après la défaite de Toulouse

l’essentiel
L’entraîneur du TFC Carles Martinez Novell analyse les raisons de la défaite de son équipe ce vendredi 22 novembre au Parc des Princes, en ouverture de la 12e journée de Ligue 1 (3-0).

Le score est-il sévère ce soir ?

Le score est sévère, oui. Mais pour gagner ce genre de match, il faut être clinique. Si vous ne marquez pas, ils marquent.

A lire aussi :
REJOUER. PSG – TFC : « Des regrets ? Oui bien sûr!” Les vaillants joueurs toulousains craquent en fin de match et s’inclinent au Parc des Princes

Etes-vous déçu du résultat, ou fier d’avoir réussi à tenir longtemps à l’écart du PSG ?

C’est un mélange des deux. Quand on arrive à se créer des occasions, on commence à se dire ‘pourquoi ne pas recommencer’ (le TFC s’est imposé au Parc des Princes en mai dernier 3-1 NDLR). Un match nul était au moins possible. Alors quand on prend le deuxième, puis le troisième, ça fait beaucoup. Je ne veux pas perdre 3-0. Mais on a tout fait dans les dix dernières minutes, avec des changements offensifs, pour tenter de ramener le nul. En termes de contenu, je pense que nous avons commencé à croire en nous au fur et à mesure de notre progression, et cela s’est vu en seconde période.

A lire aussi :
PSG – TFC : la formule magique selon l’entraîneur toulousain Carles Martinez Novell, vainqueur au Parc des Princes la saison dernière

Le TFC restait sur trois matches sans encaisser de but et trois victoires. Ce type de match, contre un adversaire de haut niveau, permet-il aussi d’apprendre et de mieux préparer la suite de la saison ?

Oui. Je pense que contre une équipe comme Paris, un match comme ça, ce n’est pas tout noir ou blanc, ce n’est pas zéro ou dix sur dix. Nous avons eu de bonnes périodes, à mon avis l’équipe a montré de bonnes choses. Nous avons été très bons en défense en première mi-temps, mais pas assez bons en attaque. J’avais le sentiment qu’on ne voulait pas assez du ballon. En seconde période, on a davantage cru en nous, on a mieux attaqué certains espaces, on voulait plus le ballon. Tout au long de la semaine, on s’est dit que si on voulait réussir quelque chose contre Paris, il fallait absolument croire en nos capacités. Mais nous avons raté trop de choses. Lors de nos trois derniers matchs, dès que nous en avions l’occasion, nous marquions. J’en étais très fier. Ce soir, c’était différent, mais c’est le football. Je sais que les joueurs se rejettent la faute, mais encore une fois il faut rester nuancé.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

Related News :