pourquoi son séjour au Vietnam ne s’est pas déroulé comme prévu

Le voyage de Laeticia Hallyday au Vietnam, placé sous le signe de la bienveillance et du partage, a viré au cauchemar, car un problème de santé a perturbé ses projets. Comme le rapporte le magazine Plus prèsce vendredi 15 novembre, la veuve du Taulier est arrivée le 4 novembre en prenant l’avion de Los Angeles pour rencontrer les jeunes pensionnaires de l’orphelinat Go Vap.

Accompagnée de Sandrine Etna, chargée du suivi des projets à La Bonne Etoile, son association locale co-créée en 2012 avec son amie Hélène Darroze, elle envisage d’apporter un soutien aux enfants orphelins en améliorant leurs conditions de vie, leur accès à l’éducation et aux soins médicaux. Cependant, son voyage a pris une tournure inattendue lorsqu’elle a souffert de fièvre et de maux de dos. Contrainte d’annuler plusieurs visites prévues, Laeticia Hallyday a dû être hospitalisée à Hô Chi Minh Ville, précisent nos confrères. Elle souffrait de pyélonéphrite, une infection bactérienne des reins, avec un risque de propagation dans le sang. La mère de Jade et Joy, belle-mère de David et Laura Smet, a dû prendre du repos forcé le temps de se remettre de cette inflammation aiguë.

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Des mères renouant avec les racines de leurs filles adoptives

Son séjour, censé lui permettre de visiter les structures financées par son association, a été réduit au minimum. Laeticia Hallyday a néanmoins pu distribuer des bourses à plusieurs adolescents. La dernière fois qu’elle a eu l’occasion de se rendre au Vietnam, c’était en décembre 2018, lorsqu’elle emmenait avec elle ses deux filles adoptives, d’origine vietnamienne, pour découvrir leurs racines. Ce voyage était hautement symbolique pour Jade et Joy, adoptées par la famille Hallyday en 2004 et 2008. C’était avec la chef Hélène Darroze, qui a également eu le plaisir de devenir maman grâce à l’adoption de deux petites filles au Vietnam (en 2007 et 2009), que la veuve de Johnny a décidé de faire quelque chose pour aider les enfants orphelins à avoir une vie décente, même s’ils ne sont pas adoptés à leur tour par de riches familles occidentales ayant des difficultés à avoir un bébé biologique.

Article rédigé avec la collaboration de 6Medias

Photo credits: Marc Ausset Lacroix / Bestimage