«J.J’ai confiance en la justice de mon pays. » Ces propos, lâchés il y a plus d’un mois par Marine Le Pen à l’ouverture de son procès, ainsi que celui du RN, devant le tribunal correctionnel de Paris ne sont pas près de repasser sur ses lèvres. Impliqué, avec 25 autres prévenus, dans l’affaire dite des assistants parlementaires européens, le candidat malheureux à la présidentielle avait le choix entre deux stratégies de défense. Elle vient, au lendemain des lourdes réquisitions du parquet, d’en abandonner brutalement une, non sans conséquences pour les mois à venir.
Le premier choix, populiste par essence, aurait été de politiser à outrance cette rencontre judiciaire, en lançant un procès médiatique contre le procès, avant même qu’il ne commence. C’est-à-dire en dénonçant,…
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