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Stade Brestois, poor reaction time

Ligue 1 (11th day). Montpellier – Stade Brestois: 3-1

En championnat, le Stade Brestois a été mené six fois et a toujours perdu. Cette incapacité à inverser le cours des matchs fait cruellement défaut, après onze journées, à l’équipe entraînée par Éric Roy pour espérer mieux. Depuis le début de la saison, lorsque les Brestois prennent le jeu à leur compte, ils sont une équipe difficile à contenir, à appréhender et même à dominer. Mais lorsque les éléments deviennent contraires, ils ne parviennent pas à forcer la décision en réagissant trop timidement.

“Nous n’avions pas la qualité technique”

Sans cette folie nécessaire, Brest peut redevenir une équipe plus ordinaire.

Et si contre Nice la semaine dernière, il y avait du positif à retenir après la domination totale de Brest en seconde période après 45 premières minutes manquées, cette fois, Brest a montré un visage trop timide pour quitter l’Hérault, avec au moins, le point du match nul. .

«On avait quand même beaucoup de ballons, on dominait beaucoup, ils étaient très regroupés, donc évidemment c’était plus dur», a insisté Éric Roy. Nous n’avions pas la qualité technique, pas le bon ressenti et un manque de réussite. C’est toujours pareil, quand on ne démarre pas bien les matches, alors ça ne se présente pas bien. »

Totalement dépassé pendant une bonne demi-heure, Brest a certes eu quelques occasions, à l’image des occasions d’Abdallah Sima (70′, 90’+3), mais a manqué de peu face à un Benjamin Lecomte décisif. « Il va falloir travailler la finition et le dernier geste car c’était trop pauvre pour concourir », résumait Pierre Lees-Melou. Et ce n’est pas le but chanceux de Jonas Martin (50e) qui change la donne.

 
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