ce surprenant dernier achat que Michel Blanc a fait avant de mourir

Dans la nuit du 3 au 4 octobre, la France a perdu l’un de ses plus grands acteurs, Michel Blanc. A 72 ans, il tire sa révérence, laissant un immense vide dans le monde du cinéma. Ce jeudi 10 octobre, lors de ses obsèques en l’église Saint-Eustache à Paris, ses proches et de nombreux fans se sont réunis pour lui rendre un dernier hommage, marqué par des moments d’émotion mais aussi la révélation d’anecdotes cocasses…

La mort de Michel Blanc a provoqué une onde de choc dans tout le pays. Une mort tragique qui a touché aussi bien ses proches que les millions de fans qui ont grandi avec ses films emblématiques comme Le bronzé. C’est dans la nuit du 3 au 4 octobre qu’est tombée la triste nouvelle : Michel Blanc est décédé à l’âge de 72 ans des suites d’un choc anaphylactique.

Une semaine plus tard, ce jeudi 10 octobre, ses funérailles ont ainsi été célébrées en l’église Saint-Eustacheà Paris. Son compagnon, Ramatoulaye Diop était naturellement présent pour lui rendre un dernier hommage, aux côtés de nombreuses personnalités comme Dany Boon, Rachida Dati, Brigitte Macron et les membres de la troupe du Splendid, amis de longue date de Michel Blanc. Des adieux déchirants.

Jean-Paul Rouve, son discours entre humour et émotion

Deux personnes se sont avancées devant l’assemblée pendant la messe et le discours de Jean-Paul Rouve a particulièrement marqué les esprits. “Putain, Michel, qu’est-ce que tu nous as fait ?”» a-t-il déclaré, rappelant les premiers mots de Gérard Jugnot à l’annonce du décès de leur ancien compagnon de la troupe du Splendid. Et à ajouter au montage : « À cause de vous, on finit comme des idiots avec des lunettes noires et des mouchoirs dans une église. » Une touche d’humour avec lequel Jean-Paul Rouve n’a pas manqué de colorer également le reste de son hommage.

Ce dernier achat qu’avait fait Michel Blanc avant de mourir

Dans le processus, c’est une anecdote des plus surprenantes que Jean-Paul Rouve a souhaité partager avec l’assemblée. « Michel venait d’acheter une veste tyrolienne. J’imagine le vendeur le regardant partir, tout excité, et appelant sa femme : Chérie, j’ai vendu la veste ! a-t-il révélé avant d’ajouter, non sans une pointe d’ironie : “La seule bonne nouvelle concernant ce qui se passe aujourd’hui, c’est que vous ne le porterez jamais.”. Une conclusion aussi déchirante qu’amusante.