Les services d’Interpol intensifient leurs recherches pour identifier 46 femmes retrouvées mortes dans six pays européens, dont la France, en révélant au public les éléments de l’enquête. Cette initiative s’inscrit dans la continuité de la campagne « Identifiez-moi », lancée en mai 2023 pour donner un nom à ces victimes anonymes et tenter de résoudre les cas non résolus.
Mettre un non sur les corps de femmes non identifiées. Comment s’appelait « la femme en rose », « l’introvertie » ou « la globe-trotter » avant de mourir dans des circonstances suspectes et d’hériter de ces surnoms donnés par les enquêteurs ? Un tatouage, un collier, une particularité physique… Les services d’Interpol ont rendu publics, ce mardi 8 octobre, des éléments d’enquête visant à identifier 46 femmes retrouvées mortes dans six pays européens sur plusieurs décennies.
>> Lire aussi : Affaire viol à Mazan : l’ADN de Dominique P. retrouvé dans des “cold cases”
“La moindre information peut être décisive et faire la lumière sur ces mystères”, a déclaré le secrétaire général d’Interpol, Jürgen Stock, appelant la population à tenter “d’apporter des réponses à leurs familles et d’obtenir réparation”. En mai 2023, la coopération policière internationale, basée à Lyon, a lancé une campagne inédite intitulée « Identifiez-moi », visant à restaurer l’identité de 22 femmes retrouvées en Allemagne, en Belgique et aux Pays-Bas. Faible au cours des quatre dernières décennies.
Rita Roberts, une première identification réussie grâce à un tatouage
Un premier appel à témoins qui a permis d’identifier Rita Roberts, une citoyenne britannique de 31 ans découverte à Anvers plus de trente ans plus tôt. Les proches de la victime ont reconnu le tatouage de…
Lire la suite de l’article sur Elle.fr
Related News :