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Cibler Safi al-Din… détails de la « frappe israélienne la plus meurtrière » contre la banlieue

Des sources de Sky News Arabia ont rapporté que la cible du raid israélien était le chef du Conseil exécutif du Hezbollah libanais, Hashem Safi al-Din, dans ce qui était considéré comme l’une des frappes les plus violentes contre la banlieue sud de Beyrouth.

Safi al-Din est considéré comme le candidat pour succéder au chef du Hezbollah Hassan Nasrallah, assassiné lors d’un raid israélien le 27 octobre.

Des sources médiatiques ont rapporté que l’armée israélienne avait pris pour cible une réunion dans la banlieue sud de Beyrouth, à laquelle participaient des dirigeants du Hezbollah et d’autres Iraniens.

La Douzième chaîne israélienne a confirmé que les attaques « inhabituelles » dans la banlieue visaient « le successeur de Nasrallah ».

Elle a ajouté : « L’armée israélienne a attaqué avec force la banlieue sud de Beyrouth après avoir appelé à l’évacuation de nombreux bâtiments de la zone », notant qu’elle « a utilisé des dizaines de tonnes de bombes, dont certaines ont pénétré dans les bunkers ».

La chaîne a révélé que « l’éminent responsable du Hezbollah et cible des attaques, Hashem Safi al-Din, se trouvait dans une cachette et on ne sait pas encore s’il a été tué » dans l’attaque.

Ces détails indiquent la similitude de cette attaque avec une autre attaque survenue il y a environ une semaine, également dans la banlieue sud, au cours de laquelle Nasrallah a été tué.

Une Source proche du Hezbollah a indiqué que le nombre de raids successifs a atteint 11, soulignant qu’ils ont provoqué un bruit fort qui a fait trembler les bâtiments, et dont l’écho, selon des témoins oculaires, a atteint des zones situées en dehors de Beyrouth et de sa banlieue.

Les images montraient d’énormes boules de flammes s’élevant du site ciblé, avec des nuages ​​​​d’épaisses fumées s’élevant.

Depuis la mi-septembre, Israël a intensifié ses frappes contre le Hezbollah, et les bombardements depuis le 23 septembre ont entraîné la mort de plus d’un millier de personnes et le déplacement de centaines de milliers de leurs foyers, selon les chiffres officiels libanais.

Lundi, Israël a annoncé qu’il avait lancé une opération terrestre dans le sud du Liban, qui n’a pas abouti jusqu’à présent à des progrès significatifs sur le terrain.

 
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