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« Il aurait pu devenir notre Arsène Wenger »

À la tête du football de Genk, Dimitri De Condé a déjà travaillé avec 10 entraîneurs. Il aimerait toutefois retrouver celui qui restera longtemps au Racing.

Dimitri De Condé a des ambitions pour le Racing Genk. L’une d’elles est de trouver un entraîneur qui restera au club sur le long terme, mais il n’a pas encore réussi à dénicher cette perle rare.

Lors d’un entretien avec Het Laatste Nieuws, il a surtout révélé avec qui il entretenait les meilleurs liens : « C’était John van den Brom. Mais je ne parle pas spécifiquement du football. Son départ m’a terriblement affecté. Même aujourd’hui. Je pense que John est un être humain fantastique.

Le Néerlandais sur le banc d’Anderlecht n’est pas le seul à avoir eu un impact sur lui : “Beaucoup pourraient trouver ça étrange mais j’ai quand même de bonnes relations avec Bernd Storck aussi », admet-il.

Genk cherche toujours « son Arsène Wenger »

Philippe Clément figure également sur cette liste, mais son départ pour le Club de Bruges l’a beaucoup affecté : « Nous avons eu une dispute quand il est parti au Club. Personne ne s’était jamais comporté ainsi envers moi. Mais j’apprécie énormément Philippe en tant que personne et en tant qu’entraîneur. Il aurait pu devenir notre Arsène Wenger… »

Mais le coach avec qui il n’a pas cliqué est tout récent. Étonnamment, c’est Wouter Vrancken : « Vers la fin, nous ne savions plus vraiment comment travailler ensemble. C’était bizarre. L’intention de collaborer à long terme ne s’est naturellement pas concrétisée. Tout est de notre faute. Je me pose encore beaucoup de questions, car quand les choses échouent avec un entraîneur, je me demande toujours ce que j’aurais dû ou pu faire différemment.

 
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