« Neuf heures de route pour voir un match qu’on ne voit pas, on est content (sourire) ! Mais le terrain était vraiment dur par endroits et les crampons n’adhéraient pas, donc nous ne pouvions pas mettre les joueurs en danger. Nous étions déjà en alerte hier (jeudi), mais la bâche était faite et tout le monde pensait que cela suffirait. Le terrain avait été dégagé il y a deux heures (vers 18 heures, NDLR), le club d’Aurillac l’avait réchauffé, il avait fait de son mieux. Les circonstances font que, même si tout le monde est très déçu. »
Trois dates possibles
Car le Stade avait choisi d’aligner une équipe expérimentale et presque entièrement renouvelée par rapport à la déception dans la Nièvre, une semaine plus tôt. Mataele et Cassio devront attendre pour faire leur première apparition en jaune et noir, Dawai et Osman-Bosch pour leur première titularisation, Even pour sa première titularisation de la saison et Brethous pour sa 335ème sélection avec le Stade. « L’équipe qui était là avait envie de montrer quelque chose, reconnaît Jean-Robert Cazeaux. Les joueurs étaient revanchards, on avait envie d’en remettre certains dans le circuit. Mais ce sont des dangers, c’est mieux que de risquer un accident. Nous misons d’abord sur la prudence. »