Sept fois champion de France de football avec Lyon, 49 sélections en équipe de France, deux participations à des Coupes du monde et deux Euros… Sur le papier, Sidney Govou (45 ans) est un équipier sur lequel les neuf autres aventuriers de L’îleproposé ce mardi 7 janvier sur M6, peut compter. D’autant que même si sa carrière professionnelle s’est terminée en 2013, le natif du Puy-en-Velay (Haute-Loire) reste sacrément affûté. Sauf que dès les premières minutes du premier numéro, l’ex-ailier virevoltant a des difficultés dans l’eau et doit se faire aider par Nathalie Marquay-Pernaut…
“Pourtant, ils étaient bien attachés» : Sidney Govou se souvient qu’il a failli perdre ses chaussures au début de L’île
Visiblement moins à l’aise en mer que sur les prés, quiconque commente les grandes affiches de la Ligue des Champions sur Canal+ manque presque d’en perdre ses chaussures. “Cependant, ils étaient bien attachés et ils étaient neufs. Mais bon, je les ai perdus dès le début”, nous dit-il, désormais amusé par la situation. En souffrance dans l’eau, l’ex-footballeur a pu compter sur le soutien de Delphine Wespiser et Nathalie Marquay-Pernaut. “J’ai réussi à rejoindre la plage grâce à mes amis… et avec mes deux chaussures», poursuit-il, toujours le sourire aux lèvres. Sans vouloir trop en dire, le pur-sang lyonnais nous confie néanmoins qu’une autre mésaventure arrivera à ses chaussures plus tard. “Après l’eau, ce fut le feu…“
“Je l’ai aussi bien soutenu» : Sidney Govou a apprécié le précieux soutien de Nathalie Marquay-Pernaut dans L’île
Emmêlé dans l’eau, celui qui a passé une saison à Athènes au sein du Panathinaïkos (2010-2011) ne garde pas un souvenir impérissable de ce moment où il n’avait plus pied. “On ne le voit pas, mais à ce moment-là, j’ai souffert», assume-t-il. Et s’il admet qu’il ne se sent pas redevable, parce que «ce n’est pas vraiment le mot», et qu’il sait qu’il aura l’occasion de prouver qu’il a d’autres compétences que la natation, Sidney Govou éprouve néanmoins une tendresse particulière pour Nathalie Marquay-Pernaut. “Elle a pris soin de moi dans l’eau, donc après je l’ai aussi bien soutenue», conclut-il, toujours armé d’un sourire qui ne semble jamais le quitter. Et dire que l’épouse de Jean-Pierre Pernaut disait vouloir surtout se concentrer sur elle-même…