Ce dimanche, Anderlecht a peiné à décrocher une victoire contre le Beerschot, déclenchant un débat lundi lors de l’émission La Tribune. C’était une victoire, mais pas une victoire célébrée pour son beau jeu.
Avec une victoire décrochée à la 93e minute, Anderlecht a dû faire face à des défis importants face au Beerschot lors de la 17e journée de Pro League.
« Le jeu avance beaucoup trop lentement. Tout va trop lentement du côté d’Anderlecht”, explique Cécile De Gernier. « Je pense que Rits et Dendoncker en sont en partie responsables. Pas seulement eux, bien sûr, mais en observant le milieu de terrain, il y avait des moments où le pressing était évident. Au milieu de terrain, quand Anderlecht domine, tous deux semblent faire du jogging. En termes de vitesse d’exécution, même si elle s’est améliorée en seconde période, je la trouve quand même catastrophique. Nous ne pouvons pas blâmer le terrain ; ce n’est pas une excuse.
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Philippe Albert fait écho à ce sentiment : « De mon époque, et de toujours, le beau jeu d’Anderlecht commence par l’arrière. Hier, quand on a un défenseur central, Zanka, qui à quinze reprises pendant le match fait une passe de cinq mètres, puis en envoie une dans les tribunes, comment veux-tu jouer au football ? Le pitch n’est jamais une excuse dans ces circonstances. Il était bien revenu dans l’alignement, mais encore une fois, il a été catastrophique hier.
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