Pour la réouverture de Notre-Dame de Paris, samedi 7 décembre, le futur président des Etats-Unis, Donald Trump s’est rendu en France où il a accordé une unique interview à la presse française. Il s’agit de Manon Quérouil-Bruneel, journaliste senior à Paris-Match qui a eu l’occasion d’échanger avec l’homme le plus puissant du monde.
Une interview à découvrir dans le prochain numéro de Paris-Match disponible jeudi 12 décembre. Sur RTL, la journaliste est revenue sur ce moment très particulier de sa carrière. « J’ai été surprise de ne pas avoir eu à déposer mes questions au préalable et de ne pas avoir de relecture », raconte-t-elle. Une pratique pourtant courante chez les chefs d’État ou les représentants institutionnels.
Ce qui a surpris la journaliste, ce n’est pas la fouille minutieuse des gardes du corps du président à son arrivée, mais le sérieux de Donald Trump : “J’avais imaginé quelqu’un d’un peu plus dans l’émission”, confie-t-elle. “Il ne m’a pas donné la poignée de main habituelle et je remercie Dieu”ajoute le journaliste en plaisantant.
Un président sensible au symbole de Notre-Dame
Lors de l’entretien, le président Donald Trump a réaffirmé son soutien à Emmanuel Macron et son attachement à la cathédrale Notre-Dame de Paris. «J’ai l’impression que ce n’était vraiment pas une posture», raconte Manon Quérouil-Bruneel. “C’était le premier chef de l’Etat à appeler Emmanuel Macron le jour de l’incendie. A l’Élysée, on nous a également indiqué qu’il était parmi les premiers convoqués pour cette invitation.»
«Je l’ai trouvé extrêmement sincère du côté de Notre-Dame aussi parce qu’il souligne aussi qu’il a un parcours de constructeur», explique-t-elle. «C’est un homme qui est un magnat de l’immobilier. Il était également intarissable sur ce qu’il fallait faire et ne pas faire concernant les travaux de restauration.
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