Ccomme au moment de la fuite de Saddam Hussein, le palais de Bachar al-Assad est envahi par les « rebelles libérateurs » d’un pays sous la dictature d’al-Assad depuis un demi-siècle. Images pathétiques.
L’évasion ! C’est ce que Bachar a trouvé de mieux pour échapper à un procès qui l’aurait condamné, étant donné que cet homme a délibérément massacré son peuple qui, au moment du « Printemps arabe », en mars 2011, manifestait pacifiquement, réclamant la démocratie et la liberté. Bachar a ordonné à son armée de tirer sur les manifestants.
Dès lors, Bachar ne veut plus rien entendre. Une élimination de son peuple fut planifiée et réalisée. Cela a entraîné des centaines de milliers de morts et six millions de réfugiés dans le monde.
Bachar, sur les traces de son père…
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