Baptiste Lecaplain a été invité àUn dimanche à la campagne ce dimanche 1er décembre 2024. L’humoriste a évoqué son enfance
difficile. « Mon père avait un
corde et parfois, il a dit qu’il allait se pendre.“ confie-t-il, ne souhaitant pas que ses parents divorcent de peur de perdre son père.
“Si je peux parler à mon enfant de 8 ans, Je lui dis de tenir le coup et qu’il y a encore 4 ans un peu chaud. J’ai eu une enfance et des parents formidables, mais il y en a un ambiance familiale lourde le soir à la maison. Son refuge ? LE instants chez sa grand-mère. « Le dimanche, j’allais manger chez ma grand-mère.
Ma grand-mère a eu douze enfants, elle a accouché huit fois seule à la maison et mon grand-père allait boire à côté.» explique-t-il à Frédéric Lopez.
Sa grand-mère : un refuge où il a découvert Pierre Palmade
Baptiste Lecaplain ne voulait pas se faire remarquer dans son enfance. «Je ne voulais pas pas attirer l’attention, j’avais besoin de calme et j’étais
très réservé.“ Il adorait aller chez sa grand-mère, un endroit où il se sentait bien. «Je vois mon adorable et gentille grand-mère cuisiner pour seize personnes. Les moments où je suis seul avec ma grand-mère sont des moments formidables.
Le comédien est revenu à son premier rapport au
one-man-show, son futur métier. « On allait regarder des dessins animés, et un jour je j’en ai marre de les regarder et j’ai mis Pierre Palmade, one-man show. J’ai mis la cassette et je vois
un gars qui parle tout seul et je me demande ce qu’il fait.» il se souvient. « Et là je vois
les adultes viennent rire, un son que je
n’entends pas trop. (…) Le son de mon
grand-mère qui rit, ça a déclenché quelque chose. Et puis j’ai commencé racontez des blagues.
Un passé compliqué : son père alcoolique
Baptiste Lecaplain est originaire de Basse-Normandie, à quelques kilomètres du Mont-Saint-Michel. «Ma mère a un salon de coiffureavec seulement des coiffeurs, donc Je n’ai grandi qu’avec des femmes. C’est hibou. Et mon père est agent d’entretien dans un hôpital. » Pourtant, tout n’est pas rose. “Mes parents
nous essayions d’avoir des enfants. Ma mère
perd deux enfants atteints du syndrome de Down à la naissance. Les médecins disent que mon père a attrapé un chromosome lié à la consanguinité dans son arbre généalogique. On leur dit qu’ils n’auront jamais d’enfants normaux.
Et cela a ramené le problèmes d’alcool
de son père. « Mon père avait problèmes d’alcool à l’époque. Sa mère s’est suicidée quand il avait 16 ans. et tout le monde lui a dit que c’était sa faute. (…) Lorsqu’il a perdu le deuxième enfant,
il boit encore plus. Et puis j’arrive, ainsi que ma sœur. C’est inattendu, mais très cool. Mais mon le père entretient ce rapport avec l’alcool, il en boit tous les soirs. Je me sens l’odeur du Ricard quand je descendais et je pensais que ça allait être
compliqué.»