Le combat entre Modou Lo et Siteu continue de faire parler d’eux parmi les amateurs de catch. Entre la victoire par avertissement, la chute controversée de Modou Lo et le recours déposé par le camp Siteu, experts et amateurs sont divisés sur plusieurs points. Après consultation du règlement GNC, voici ce que le Comité de Gestion des Combats a dit concernant le verdict dans son article 37.
Dimanche 24 novembre, Modou Lo a mis en jeu sa couronne de Roi des Arènes en affrontant Siteu. Le lutteur des Parcelles assassines a réussi à conserver son titre et sa couronne, après sa victoire par avertissement. Un verdict qui a quelque peu déçu les fans de catch, qui s’attendaient à un combat épique avec un vainqueur et une chute nette et nette.
→ LIRE AUSSI : Combat royal : les sanctions financières du GNG sont tombées, Modou Lo et Siteu perdent chacun 2 millions
Ce combat a créé une vive polémique concernant la chute controversée de Modou Lo. Dans une action hors de l’enceinte, le Roi des Arènes semble toucher le sol au niveau des épaules. Selon Max Mbergane, manager du Siteu : « Modou Lô a touché le sol avec son épaule, ce qui est une chute nette », a déclaré l’ancien lutteur à la fin du combat.
Pourtant, quand on regarde la réglementation GNC, il n’y a pas de chute de Modou. Le verdict est défini dans la réglementation GNC au niveau du chapitre IX, à l’article 37 comme suit :« Un lutteur est renversé lorsqu’il tombe sur le dos, le ventre, couché sur le côté, le dos, la tête, les quatre appuis, sans compter les pieds, et lorsqu’il s’assoit sur ses talons. »peut-on lire dans le règlement du comité de gestion de lutte.
→ LIRE AUSSI : Le nouveau président du CNG, Malick Ngom, remporte sa commune lors des élections législatives
Cependant, un recours a été déposé mardi par le manager de Siteu pour revendiquer la victoire de Tarkinda. Reste à savoir ce que décidera le CNG. Le verdict initialement rendu peut être annulé ou confirmé. À suivre.
→ LIRE AUSSI : Nominations du président du CNG : Ces très graves accusations contre la ministre Khady Diène Gaye