NARRATIF – Pour ses détracteurs, elle restera celle qui a « enlaidi » la capitale et qui a mené une guerre sans merci contre l’automobile.
« Jeu terminé. Hidalgo jette l’éponge ! » Sur son compte X, #SaccageParis a accueilli la nouvelle avec un certain soulagement. Pendant des années, ce mouvement de « citoyens unis pour que la capitale redevienne belle et propre », comme il se définit, tient un véritable catalogue de ce qui ne va pas à Paris. Chaque publication sur le réseau social témoigne des résultats négatifs, selon lui, d’Anne Hidalgo en termes de propreté, d’aménagement des espaces publics et de sécurité dans la Ville Lumière.
Que retiendra-t-on des deux mandats de l’élue socialiste, qui a annoncé vouloir passer la main en 2026 ? Ses nombreux détracteurs amoureux du « Paris authentique » lui reprocheront d’avoir enlaidi la capitale. D’abord avec des choix esthétiques risqués, comme les fameuses jardinières en caisses en bois au pied des arbres ou la multiplication des terrasses – plus ou moins éphémères – de restaurants sur la voie publique. Nous…
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