Vu et lu sur le PSG dans la presse française ce samedi 23 novembre 2024. Victoire du PSG contre Toulouse, Achraf Hakimi à la hauteur de son nouveau statut, Warren Zaïre-Emery retrouve son meilleur niveau…
Dans l’édition d’aujourd’hui, L’équipe revient sur la victoire de PSG contre
Toulouse hier soir (3-0) dans le cadre de la douzième journée Ligue 1. Pour ce rendez-vous placé après la trêve internationale et quatre jours avant l’important déplacement à Munich dans
Ligue des champions, Luis Enrique
avait décidé de réaliser un chiffre d’affaires limité, » la preuve qu’il a pris au sérieux cette soirée glacialex», affirme le quotidien sportif. Ses joueurs ont fait de même. A défaut d’être brillants ni même d’exister, ils ont bien contenu puis ont fini par punir
Toulouseanalyser L’équipe. Face à une équipe qui défendait bas et bien, » il a fallu une inspiration, un geste classe, un excès de fonction pour les surprendre, tout ce qui coûte si cher à ça PSG si peu traversé par un vent de liberté et de créativité. » Cette rencontre contre le TFC a confirmé que le cœur du jeu PSG bat toujours du côté droit, avec un Ousmane Dembélé aussi tourbillonnant qu’inachevé, ainsi que la solidarité du collectif, estime le quotidien sportif. Le mandat de Matveï Safonovquelle que soit la raison, c’est l’autre événement de la soirée, dit
L’équipe. « Il confirme l’effritement du statut de Gianluigi Donnarummaen tout cas l’instauration d’une concurrence plus affirmée, qui entraîne une continuation. » Mardi soir, le PSG dispute la première de ses quatre finales en Ligue des champions contre le Bayernpour utiliser les mots de Luis Enriquesans aucune garantie supplémentaire, conclut le quotidien sportif.
De son côté, Le Parisien
revient également sur la victoire de PSG contre
Toulouse la nuit dernière. Le quotidien francilien explique qu’avant la fin du match où le club de la capitale a marqué deux buts, il y a eu une étincelle manquante, un feu follet, une déstabilisation, des changements de rythme et personne ne s’est sacrifié. Il faudra noter l’activité de João Nevesmilieu de terrain en première mi-temps, arrière gauche en seconde. ” S’il faut raconter l’énorme solitude de Désiré Doué durant ce match jusqu’à son remplacement (par Kang In Lee), pourtant finalement installé là où il l’aime, en relayeur de gauche, João Neves apparaissait partout et pas seulement parce qu’il jouait deux rôles. Sa volée victorieuse sur un caviar cibléAchraf Hakimi (1-0, 35e) aura constitué la pièce de bravoure du premier acte et peut-être même de la rencontre. » Le Parisien estime que malgré un
Toulouse pas très dangereux, le PSG joué pour se faire peur, comme cette passe devant la surface de
Warren Zaïre-Emery verser Shavy
Babicka ne parvenant pas à saisir l’aubaine alors que l’égalisation tombait comme un cadeau du ciel pour les Toulousains. Avec les objectifs de Lucas Beraldo et
Vitinhale PSG a continué avec sa moyenne de trois buts par match en Ligue 1.
« La certitude est que ce succès sans immense panache maintient les six points d’avance du PSG sur son dauphin, Monaco. La certitude est que mardi, à l’Allianz Arena, ce sera un tout autre match pour
Pariss», conclut le quotidien francilien.
À voir aussi : Joao Neves : « On se donne confiance avant la Ligue des Champions »
Le Parisien se concentre également sur Achraf Hakimi. Dans une équipe désormais dépourvue de stars, Achraf Hakimi
fait désormais office de survivant et reste l’une des dernières stars de cet effectif dont il est désormais l’un des cadres. A 26 ans, le défenseur a évolué et pris de l’épaisseur comme en témoigne ce brassard de capitaine porté ce vendredi, précise le quotidien francilien. ” Sans livrer une performance mémorable, Juge était sérieux et a démontré une fois de plus son importance dans le système de jeu de Luis Enriquenotamment sur le plan offensif où il dispose d’une grande liberté. Au cours d’une longue réunion insipide, il a prouvé qu’il restait essentiel dans la construction des actions parisiennes lorsqu’il a livré un centre télécommandé en direction de João Neves (35e) qui venait loger le ballon dans le petit filet de
William Restes. » Cette rencontre a aussi été un bon résumé du joueur qu’il est : du laitier sur le plan défensif, avec un carton jaune anecdotique (44e), mais surtout un poison pour l’adversaire, capable de tenter d’amener le danger à différents postes. , sur de nouveaux centres, lance Le Parisien. « Dans une équipe en grande difficulté sur la scène européenne, son sens de la provocation et ses infatigables montées dans le couloir droit ne seront certainement pas de trop mardi soir pour tenter de bousculer l’équipe. Bayern Munichh», conclut le quotidien francilien.
L’équipe se concentre également sur un joueur de PSG,
Warren Zaïre-Emery. Le quotidien sportif estime qu’après un début de saison poussif, le titi parisien retrouve son niveau de la saison dernière où il était indispensable à son équipe. Warren Zaïre-Emery était bon, de loin le meilleur milieu de terrain du PSGestimé L’équipe.
« Son impact physique, sa capacité à multiplier les efforts – notamment en contre-pressing – et sa capacité à garder le ballon sous pression lui ont permis de dompter facilement l’entrejeu toulousain. Il réalise également une rentrée exceptionnelle avec un tacle salvateur sur un tir de Zakaria Aboukhlal (70e) qui était seul face Matveï Safonov alors que le score n’était encore que de 1-0 pour
Paris. » À son apport défensif, il a ajouté une activité offensive précieuse, n’hésitant pas à se projeter et à soutenir les attaques de son équipe, analyse le quotidien sportif. ” Petit bémol dans cette prestation XL, il a vu sa reprise plein axe interceptée devant la surface parisienne, mais sans conséquence (70e).. » Les statistiques de la soirée confirment la bonne performance de ce pur Parisien, passé par le club associatif à ses débuts. Il a touché 93 ballons, tenté 75 passes (85% de réussite) et une interception. Des chiffres en hausse par rapport à sa moyenne depuis le début de la saison. Au bon moment, conclut
L’équipe.