l’islamiste inscrit S Elias d’Imzalene a été aperçu aux côtés des députés LFI Eric Coquerel et Ersilia Soudais lors d’une manifestation

l’islamiste inscrit S Elias d’Imzalene a été aperçu aux côtés des députés LFI Eric Coquerel et Ersilia Soudais lors d’une manifestation
l’islamiste inscrit S Elias d’Imzalene a été aperçu aux côtés des députés LFI Eric Coquerel et Ersilia Soudais lors d’une manifestation
l’islamiste inscrit S Elias d’Imzalene a été aperçu aux côtés des députés LFI Eric Coquerel et Ersilia Soudais lors d’une manifestation

Avant le match de football -Israël au Stade de France, des centaines de manifestants pro-palestiniens se sont rassemblés mercredi 14 novembre à Saint-Denis, brandissant des pancartes « Stop au génocide ». Lors de ce rassemblement, le député de La France insoumise (LFI) Éric Coquerel s’est exprimé aux côtés de sa collègue Ersilia Soudais pour dénoncer la présence de plusieurs hauts responsables français à ce rendez-vous sportif. “ En applaudissant ce match, le gouvernement français se montre une fois de plus complice de l’État israélien et de son armée, lorsque cette dernière a arrêté deux gendarmes français il y a à peine une semaine ! Cela rend l’État français inaudible. Comment Benjamin Netanyahu pourrait-il ne pas considérer cela comme un chèque en blanc ? », a-t-il répété sur le réseau social

Debout au pied de la scène lors du discours d’Éric Coquerel, le militant inscrit S Elias d’Imzalene n’est pas passé inaperçu.

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Ce proche des Frères musulmans, à la tête de l’association Perspectives musulmanes et du site Islam et infosavait lancé lors d’un rassemblement en faveur du peuple palestinien début septembre à Paris : « Sommes-nous prêts à mener l’Intifada à Paris ? ? »

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Après des signalements de l’association Lutte pour l’égalité dans la lutte contre le racisme et du ministère de l’Intérieur, il a été placé en garde à vue fin septembre et a obtenu le soutien public d’Ersilia Soudais.

Le jugement sera rendu dans un mois

Le parquet avait alors ouvert une enquête contre lui pour « incitation publique à la haine ou à la violence contre une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine, nation, race ou religion déterminée », « provocation à commettre des atteintes volontaires à la vie ou à l’intégrité physique de personnes ». la personne aggravée par l’origine ou la religion » et « la provocation à commettre des crimes ou délits portant atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ». Entendu au tribunal correctionnel de Paris le 24 octobre, Elias d’Imzalène attend toujours son jugement. La décision sera prise le 19 décembre.

 
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