mardi 12 novembre 2024 dans Demain nous appartientce qui vient de changer le générique… Avant d’aller en cours, Violette et Lilou prennent un verre au Spoon. Visiblement perturbée, la seconde raconte au premier sa désagréable impression d’avoir été suivie la veille au soir. Un mauvais pressentiment qui l’a obligée à se réfugier dans un bar et à appeler sa mère en panique. D’ailleurs, toujours traumatisée par son agression, Lilou n’a encore rien dit à sa mère…
Demain nous appartient d’avance : Bastien veut se raser la tête pour Lilou !
Au lycée, Bastien révise un cours devant une Lilou en pensée. Mais elle sort de sa léthargie lorsqu’elle voit arriver Octave avec une nouvelle coiffure. Elle lui avoue qu’elle aime quand les garçons changent de coiffure. Pour Bastien, cette information ne passe pas inaperçue. Et donc un peu plus tard, dans les couloirs de l’école, Bastien annonce soudain son intention de se raser les cheveux ! Il avoue alors que Lilou aime les visages ouverts ! Au Spoon, Violette prévient Bastien de son projet capillaire. Elle lui fait alors essayer une application lui permettant de visualiser différentes coupes. Au début hésitant, il finit par accepter. Bastien refuse toutes les offres jusqu’à ce qu’il en découvre une qui lui plaît ! En fin de journée, Violette s’occupe des cheveux de Bastien. Le but : lui faire des tresses. Mais la mission s’avère difficile…
Demain nous appartient d’avance : Aaron s’emporte contre Chloé et Benny
Responsables du tri des médicaments, Chloé et Benny en assument la responsabilité. Benny pense que c’est Aaron qui les a affectés dans la réserve, pour se venger de la signature un peu forcée de sa convention de stage. Peu de temps après, c’est une Manon heureuse qui a ramené son fauteuil roulant à l’hôpital pour en faire don. Elle croise Aaron et Samuel, surpris de la voir marcher. Elle les prévient de ne pas en informer ses parents : elle veut leur faire une surprise. Plus tard, Victoire chatouille Aaron à propos de la corvée infligée à Chloé et Benny. Il est surpris : il n’a rien à voir avec leur affectation dans la réserve. Mais il ne cache pas non plus qu’il est toujours en colère contre Chloé pour son sale coup. Avant de partir, Victoire laisse entendre qu’Aaron n’a pas forcément une bonne réputation auprès de ses collègues. Peu de temps après, Chloé et Benny viennent lui présenter leurs excuses. Elle va même en parler à Marianne à son retour pour que cette histoire de stage ne lui tombe pas dessus. Aaron accueille ces paroles avec satisfaction. Alors les deux infirmières lui demandent d’être davantage auprès des patients. Aaron change alors de ton, arguant qu’il n’est pas en charge du planning des stagiaires ! En fin de journée, à la ferme, Benny est toujours bouleversé par sa journée. Alex débarque et annonce qu’il doit encore effectuer des livraisons. Chloé propose son aide, tout comme Benny.
Demain nous appartient en avance : Le violeur en série est libéré !
Michaël et son équipe se rendent chez le psychologue Alain Belzeau, devenu le principal suspect dans l’affaire des violeurs en série. La police veut fouiller son bureau ainsi que son emploi du temps et son ordinateur. Mais Belzeau annonce qu’il vient d’être cambriolé. Surpris, Michaël demande que la police scientifique s’y rende immédiatement. Malgré tout, il insiste pour que Belzeau obtienne sa liste de patients. Le psychologue accepte de lui donner mal à la tête. Au même moment, dans un hangar vide, Ulrick Lesueur, le véritable violeur, brûle l’ordinateur et les fichiers de Belzeau.
Toujours sous protection policière, Soizic est escorté par Nordine. Cette dernière est déstabilisée par son attitude mais elle le rassure : si elle « s’énerve », ce n’est pas à cause de lui mais à cause de son fils, qui n’arrête pas de faire des bêtises. Au commissariat, Michaël fait le point sur le cambriolage avec Roxane et Timothée. Les analyses n’ont rien donné. Mais en parcourant la liste des patients de Belzeau, ils se rendent compte que Sara, Lilou et Soizic le consultent. C’est effectivement le point commun entre eux. Mais Roxane conteste l’un des noms : Ulrick Lesueur, le propriétaire du magasin de mannequins. Son profil pourrait bien en faire un suspect. Roxane en est même sûre ! Mais Michaël tempère : il leur faut plus d’éléments. Nordine et Michaël se rendent donc au magasin Lesueur pour le ramener à la gare. Il y est interrogé par Michaël. Pour chacune des dates critiques des attentats, Lesueur affirme qu’il était chez sa mère, en souffrance. Le flic lui demande alors s’il est impliqué, directement ou indirectement, dans la sphère masculiniste, s’il est en couple, sur son rapport aux femmes… Il dit alors à Michaël qu’il a compris qu’il s’agissait de l’affaire du violeur et , en signe de bonne foi, lui donne son téléphone pour analyse. Méfiant malgré ce geste volontaire, Feray lui a alors indiqué qu’il lui faudrait également un test ADN. Peu de temps après, Roxane se résigne : la mère de Lesueur confirme son alibis. De son côté, après analyse du téléphone, Timothée arrive à la même conclusion : il n’a rien trouvé. Et comme Lesueur, dans son droit, a refusé le test ADN, les flics n’ont aucune preuve pour le retenir. Face à l’insistance de Roxane, Michaël accepte d’appeler le procureur.
En fin de journée, Michaël ramène ses affaires à Lesueur. En quittant les lieux, avec un sourire narquois, il souhaite bonne chance aux flics pour arrêter le violeur. Roxane, qui le voit sortir du commissariat, est sur le point d’exploser. Michaël tente de la calmer et lui annonce qu’il a rendez-vous avec le procureur le lendemain. En attendant, il ne peut rien faire.