L’ex-compagne d’Iris Mittenaere, Miss France et Miss Univers en 2016, a été condamnée dans la nuit du mercredi 6 au jeudi 7 novembre à un an de prison dont six mois avec sursis, pour violences conjugales, a indiqué l’avocat de la jeune femme et le parquet de Paris, relayé par leAFP.
Le procès pour violences conjugales de Bruno Pelat, compagnon d’Iris Mittenaere, sacrée Miss France et Miss Univers en 2016, s’est ouvert mercredi à huis clos à la demande de la victime, devant le tribunal correctionnel de Paris. La femme de 31 ans, aujourd’hui influenceuse et animatrice de télévision, cheveux coupés et manteau beige, est arrivée dans la pièce accompagnée de sa famille et de son avocat. Visiblement très émue, elle était assise au premier rang, recroquevillée contre un mur.
Coups, insultes, menaces…
Bruno Pelat, 22 ans, costume gris et cheveux coiffés en arrière, est venu à la barre pour entendre les faits qu’il a commis dans la soirée du 25 septembre : avoir frappé Iris Mittenaere, lui avoir cogné la tête contre un mur, l’avoir insultée et menacé de la faire exploser. contrats.
L’accusé aurait dû être jugé en comparution immédiate le 27 septembre à l’issue de sa garde à vue, mais l’audience a été reportée à la demande de l’ancienne Miss France, qui a affirmé ne pas être jugée. « en capacité psychologique » venir
La violence, « un recours habituel dans le cadre des relations qu’il entretient »
Il avait été placé sous contrôle judiciaire avec obligation de soins, de résidence dans un autre département que celui de la plaignante et interdiction d’entrer en contact avec Iris Mittenaere.
Le jeune homme avait déjà été condamné en juin 2022 pour violences et menaces de mort sur son père, puis en avril 2023 pour violences sur une autre compagne.
Bruno Pelat « un recours aux menaces et à la violence qui semble être un recours habituel dans le cadre des relations qu’il entretient avec son entourage », estimait le procureur fin septembre avant le report du procès.
Le jeune homme, qui était en couple avec Iris Mittenaere depuis six mois au moment des faits, avait reconnu “problème d’impulsivité” et dit “peur de l’abandon”.