Accusé d’« ingérence » dans la campagne du candidat républicain, Keir Starmer craint un nouveau mandat du milliardaire.
Tout l’été, Keir Starmer s’est efforcé d’améliorer ses relations avec Donald Trump. Nous ne devrions jamais insulter l’avenir, surtout lorsque les sondages le décrivent comme incertain. Mais ces efforts ont déraillé lorsqu’un collaborateur du Premier ministre a involontairement fait exploser une petite bombe sur LinkedIn. Une publication très imprudente, prouvant, pour le candidat républicain, l’ingérence des travaillistes britanniques dans la campagne, en soutenant activement Kamala Harris. Depuis, la hache de guerre a été déterrée.
Responsable des opérations du parti travailliste, Sofia Patel affirme avoir « presque 100 salariés (ou ex-salariés) » prêt à faire campagne pour Kamala Harris dans plusieurs « États pivots ». Elle a ajouté qu’il restait encore des places pour les volontaires, proposant de « organiser leur logement ». L’équipe juridique de Trump a immédiatement déposé un recours auprès de la Commission électorale fédérale américaine…
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