04 novembre 2024 • 11h58 par Ferry Visser
DORDRECHT – Je n’ai pas laissé passer l’invitation que j’ai reçue pour assister à la projection privée du film à Dordrecht. Je n’étais pas le seul, car lorsque nous sommes arrivés à sept heures moins le quart, il y avait déjà beaucoup de monde.
L’invitation (malheureusement) ne mentionnait pas de « code vestimentaire ». J’aurais aimé qu’il soit précisé que tout le monde devait porter des bottes en caoutchouc.
Par mesure de sécurité, j’ai apporté des bottes en caoutchouc, car lors d’une telle première représentation d’un documentaire sur la nature, je ne m’attendais pas à un tapis rouge, mais à une entrée boueuse. La réalité était différente, elle devenait (malheureusement) toujours rouge.
De nombreux amis et parents des « quatre mousquetaires de Biesbosch » étaient bien sûr présents. La salle était littéralement et figurativement pleine à craquer.
Le spectacle a été ouvert à sept heures et quart par Geert ter Steeg, directeur de « DeWitt ». Il a ensuite posé un certain nombre de questions au réalisateur Bas Kakes.
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Bien sûr, il s’agissait des origines du film. Ensuite, Coen Koopmans et l’ancien forestier – et observateur de Biesbosch – Jacques van der Neut ont brièvement repris la conversation.
Il a été fièrement annoncé que le film avait été nominé pour la meilleure production indépendante lors du Widlife Film Festival (du 4 au 10 novembre) à Rotterdam. Et oui, vous pouvez être fier !
Nous nous sommes assis à sept heures et demie.
Observation
Pendant environ une heure et demie, nous avons pu profiter de la nature dans et autour de notre île. Il n’est certainement pas nécessaire de voyager à l’autre bout du monde pour découvrir la nature. Il faut cependant prendre le temps de voir la nature dans notre propre environnement. Le tournage a eu lieu principalement pendant ‘Heure d’or*’.
*L’heure dorée est aussi parfois appelée « heure magique » et correspond à l’heure qui suit le lever et le coucher du soleil. Ce sont donc les heures d’or recherchées par les photographes et les réalisateurs de vidéoclips et autres films.
Les fabricants ont fait tout leur possible pour donner la meilleure image possible des origines et de l’actuel Biesbosch. Les images en noir et blanc montraient l’histoire (y compris de la « ruée » vers la forêt, le saule (ouvriers), le saule (orteils et nattes). Avec la fermeture du Haringvliet, la flore et la faune de l’arrière-pays ont changé. En rachetant des fermes, la gestion de la nature a permis de rendre le Biesbosch brabançon en particulier à la nature et de garantir une plus grande biodiversité, en particulier dans le Noordwaard.
Après la projection, les gens pouvaient poser des questions sur le film. Cela incluait la musique utilisée, la collaboration, la plus grande déception et les meilleurs moments de quatre années de dur labeur.
L’expression « Early bird » n’est pas née par hasard, elle a fait l’objet d’une réflexion approfondie et c’est exactement ce que les réalisateurs de ce grand documentaire ont fait. De nombreux enregistrements ont été réalisés tôt le matin.
En résumé: La nomination au festival du film n’est certainement pas sans raison.
Les points forts pour moi ont été les belles photos du martin-pêcheur, de la porte volante (aigle de mer), des barges, des spatules, du balbuzard pêcheur, de l’abeille domestique qui va chercher l’eau et des saisons en constante évolution.
Où et quand
Le film est disponible à partir du 5 novembre (première à Rotterdam) peut être vu à Rotterdam, Dordrecht (salle de cinéma deWitt), Alblasserdam, La Haye, Breda, Utrecht, Arnhem et Wageningen.
Opération’biesboschfilm.nl» et via le bouton « Projections », vous pouvez voir où et quand le film sera projeté. D’ailleurs, de nombreuses représentations affichent déjà complet.
En guise de service supplémentaire, voici les dates de projection au Filmtheater DeWitt :
du 12 novembre 2024 :(épuisé)
vr 15 novembre 2024 14h00
sam. 16 novembre 2024 14:00
19 novembre 2024 19h00
jeu. 21 novembre 2024 19:00
dim. 24 novembre 2024 12:00
Ce qui l’a précédé
Le documentaire est après quatre ans de travail De Biesbosch, La nature en mouvement fini. Le film sera présenté en première le 5 novembre Festival du film animalieroù il a été nominé pour la meilleure production indépendante. L’ancien forestier Jacques van der Neut a travaillé avec le réalisateur Bas Kakes, Koen Koopmans, Kevin van den Hoek et Bas Bakker (producteur playback Images) pour raconter l’histoire du Biesbosch.
Kakes, qui avait déjà réalisé un film sur Dordrecht, souhaitait consacrer un film séparé à Biesbosch après son expérience avec la nature. Grâce au Staatsbosbeheer, il entra en contact avec Van der Neut, qui prenait sa retraite et avait le temps de l’aider. Ensemble, ils se sont rendus au Biesbosch pour enregistrer la relation entre les animaux et l’eau.
Le film parle du retour de l’eau dans des régions comme le Noordwaard et le Tongplaat, où des milliers d’hectares de terres agricoles ont été transformés en nature. Kakes raconte comment ils ont capturé des images emblématiques d’animaux tels que le castor et l’aigle de mer, malgré les difficultés du tournage. En fin de compte, 60 heures de matériel ont été réduites à un documentaire de 95 minutes.
Retouches photos : Ferry Visser
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