« Qu’est-ce qu’Anderlecht doit encore améliorer ? L’état du terrain… »

« Qu’est-ce qu’Anderlecht doit encore améliorer ? L’état du terrain… »
« Qu’est-ce qu’Anderlecht doit encore améliorer ? L’état du terrain… »

Sil n’avait pratiquement pas de travail à faire, car Anderlecht était ultra-dominant, Colin Coosemans a apprécié la performance d’Anderlecht, qui a été globalement constante. “On a vu un niveau anderlechtois”, commente son capitaine. « C’était nécessaire après deux défaites en championnat. On a commencé le match avec l’envie de presser haut, de jouer vers l’avant. Vous me répondrez que Courtrai n’a pas montré grand chose, mais si c’est le cas, c’est peut-être aussi grâce à nous. C’est le Sporting que nous voulons voir à chaque match. Nous ferons tout pour qu’Anderlecht soit là ; il mérite d’être, en tête du classement, le plus haut possible… »

L’efficacité retrouvée de Dolberg, le retour en forme de Dreyer, la performance de Stroeykens… : de loin, Coosemans savourait. « Après Bruges, tout était négatif. Ici, c’est le contraire, car nous avons fait un bon match et obtenu un bon résultat. Il nous en faut davantage, évidemment, il faut continuer, continuer. A-t-on vu le meilleur d’Anderlecht depuis le début de la saison ? Au vu du résultat, je comprends pourquoi on pourrait penser cela. Après des matchs compliqués, notamment à domicile où nous avons affronté des équipes qui ont mis des doubles murs, c’est un résultat sur lequel on peut s’appuyer.

Lorsqu’on lui demande ce qui doit encore être amélioré, Colin Coosemans répond sans détour : « L’état du terrain. On me dit qu’ils y travaillent. Il le faut, si nous voulons développer le jeu que nous voulons mettre en place… »

Et le capitaine d’Anderlecht commente la performance de Kasper Dolberg, qui a reçu une standing ovation à sa sortie du terrain. « Nous faisons tout pour l’aider. En début de saison, il était un peu isolé, et peut-être pas en grande forme, et ce n’est pas seulement sa faute. C’est à nous de l’aider, de le mettre en position de marquer. Si tel est le cas, sa valeur est très élevée.

Enfin, un mot sur la passation de pouvoir entre Jesper Fredberg et Olivier Renard, qui animait la semaine d’Anderlecht : « Nous, les joueurs, nous nous sommes concentrés sur ce qui se passait sur le terrain, pour être le plus efficace possible, sans nous soucier de ce changement. Jesper a fait du bon travail et Olivier devra également tout faire pour assurer le succès d’Anderlecht.

 
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