INTER-VENISE 1-0
(65′ Lautaro)
Été 7 – Loin d’être un spectateur non payant : une super réflexion sur Oristanio en fin de première mi-temps, elle a aussi été décisive sur Pohjanpalo en début de seconde période. Il y a ses gants dans cette réussite. Les incertitudes relatives à la sortie définitive sont éliminées du rapport de match.
Pavard 6 – L’exception à la règle : il termine un match même avec un carton jaune et ça doit vouloir dire quelque chose, même sans prétendre que c’est un miracle.
Le Libre 6 – En finale, il est même proche de marquer sur un ballon inactif. Joli duel avec Pohjanpalo, avec quelques espaces accordés.
Bâtons 6,5 – Plus de gouvernement que de combat : il a commis certaines des descentes les plus dangereuses de l’Inter, derrière quelques erreurs de trop. Il en ressort avec douleur. (Dal 70′ Bisseck 5 – Merci au bras de forçat de Sverko, mais vous ne pouvez pas vous laisser exploser comme ça à la dernière minute.)
Dumfries 6,5 – Il pousse fort au début, au fil des minutes il baisse sensiblement mais fait toujours partie de ceux qui demandent à Stankovic d’intervenir. Quelques contrôles, cependant, sont anti-football scolaire.
Civière 6 – Souvent large à droite, surtout en première mi-temps. En seconde période, il s’est éloigné du jeu avant de sortir. (Dal 70′ Calhanoglu 6,5 – Il entre et l’Inter court immédiatement de manière plus fluide. Un joli contre-lancement pour certifier la récupération la plus précieuse qui soit).
Zielinski 6 – Sans infamie et sans éloges : les devoirs, comme une bonne partie de l’Inter. (À partir de 84′ Frattesi sv).
Mkhitaryan 6 – Le penalty en mouvement que lui a offert Dumfries en première mi-temps échoue, le hors-jeu au genou de Dimarco arrête la célébration du but refusé en seconde période dans sa gorge. Quatre-vingt-dix minutes de sacrifice, pas toujours au sommet : avec Arsenal, au moins, il se reposera.
Dimarco 6,5 – La passe décisive sur le but de Lautaro et bien d’autres courses sur le flanc fort de l’Inter. Lui aussi donne une certaine incertitude dans la phase de non-possession : le facteur atténuant est la prolongation due au manque d’alternatives. (Dal 76′ rue Darmian ).
Thuram 5.5 – Dans la version grosse panthère : la grande beauté habituelle de la démarche s’accompagne d’au moins deux buts dévorés.
Lautaro 7 – Pour débloquer un jeu comme celui-ci, vous avez besoin d’un bon niveau de Tournée. Le reste est assez ordinaire, voire un peu moins. Mais c’est un objectif ambitieux. (À partir de 70′ Taremi 6 – Beaucoup de garra, mais pas de cailles).
Simone Inzaghi6 – On attendait une équipe féroce, après avoir déjeuné en profitant du 3-0 du Brigade des stupéfiants à Naples. Au lieu de cela, son Inter est entré sur le terrain avec lenteur et n’a ramené le résultat que de peu, avec le frisson final. Ces trois points sont cependant précieux.