Le président français Emmanuel Macron a reconnu cet après-midi « l’assassinat » du leader du Front de libération nationale (FLN) Larbi Ben M’hidi “par des soldats français”, à l’occasion du 70e anniversaire de l’insurrection du 1er novembre 1954 qui a ouvert la guerre d’Algérie.
Le Président de la République « reconnaît aujourd’hui que Larbi Ben M’hidi, héros national pour l’Algérie et l’un des six dirigeants du FLN qui ont lancé l’insurrection du 1er novembre 1954, a été assassiné par des soldats français placés sous le commandement du général Aussaresses. », indique un communiqué de l’Elysée.
Souvent présenté par ses compatriotes comme l’« Algérien Jean Moulin », le leader du FLN a été assassiné en 1957 par le général Paul Aussaresses, qui l’a reconnu au début des années 2000, démentant la version officielle qui avait maquillé sa mort en tentative de suicide.
Autres titres de journaux
A Poitiers, la fusillade et la rixe d’hier soir ont fait cinq blessés graves.
Le pronostic vital de l’un d’eux est actuellement compromis.
Au final, une soixantaine de personnes sont impliquées dans cet incident, indique le procureur de la République de Poitiers Olivier Rabot. (Loin des 400 à 600 évoqués par le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau)
Le tireur est impliqué dans un trafic de drogue.
La lutte contre le banditisme de la drogue est une véritable cause nationale, a déclaré cet après-midi le ministre de l’Intérieur.
Ce matin il a évoqué le risque de « mexicanisation de la France »
L’Espagne pleure ses morts après les inondations meurtrières dans la région de Valence
Le pays est en deuil officiel.
Le bilan s’alourdit encore aujourd’hui, il s’élève désormais à 202 morts..
Des renforts militaires ont été déployés vendredi matin dans le sud-est de l’Espagne pour faire face à la situation dramatique et au chaos total provoqué par les inondations meurtrières du début de la semaine.
L’heure est aussi à la solidarité et au réapprovisionnement, mais aussi à la controverse politique.
Mais le danger climatique n’est pas encore définitivement écarté, le pays est toujours en état d’alerte.
Aux Etats-Unis, à quelques jours de l’élection présidentielle, Donald Trump et Kamala Harris multiplient les meetings dans des Etats clés, actuellement dans le Wisconsin où les deux candidats sont dans une situation difficile.
Le candidat républicain continue aussi de multiplier les déclarations provocatrices..
La dernière, hier, en Arizona, destinée à une républicaine, mais farouche opposante à l’ancien président, Liz Cheney qu’il accuse d’être une belliciste radicale avant d’évoquer… un peloton d’exécution.
