Une décision prise dans la précipitation ? Au début de l’année, le palais de Buckingham annonçait une triste nouvelle : « Lors de la récente intervention hospitalière du roi Charles III pour une hypertrophie bénigne de la prostate, un autre sujet de préoccupation a été noté. Des tests de diagnostic ultérieurs ont identifié une forme de cancer. » Le fils de feu Elizabeth II entame alors un traitement et délègue de nombreuses tâches à son fils aîné, le prince William. Bourreau de travail, le monarque avait pourtant rapidement repris le cours de son agenda. Fin octobre, il prendra la direction de l’Australie et des îles Samoa et mettra de côté son traitement pendant onze jours avant de le reprendre une fois de retour sur sa terre natale.
Charles III arrête son traitement : une décision imprudente ?
Alors que Kate Middleton a récemment annoncé qu’elle avait arrêté sa chimiothérapie après des mois de combat contre le cancer, les médecins de son célèbre beau-père ont également donné leur feu vert à ce dernier, du moins temporairement. Une nouvelle qui donnerait des sueurs froides à sa femme, Camilla, comme l’aurait assuré un proche dans les colonnes de Bête quotidienne : « Elle veut qu’il ralentisse. Elle a peur qu’il travaille trop dur, même avant la tournée australienne. » Et d’ajouter : « Il suffit de regarder les photos d’aujourd’hui comparées à celles d’il y a un an pour s’en rendre compte : il a beaucoup maigri et a considérablement vieilli. Camilla lui a conseillé de faire une pause, mais c’est un bourreau de travail, il n’écoute pas. »
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Charles III ravi de pouvoir reprendre ses engagements royaux
Si la reine Camilla reste préoccupée par la santé de son époux, Charles III serait ravi de reprendre progressivement le cours normal de sa vie, comme l’a assuré une Source proche de la famille royale britannique à nos confrères de Miroir : « Les choses évoluent désormais dans une direction très positive, ce qui lui permet de faire des projets à long terme. » Et de préciser : « Naturellement, certaines de ses pensées concernaient sa propre santé et la façon dont il voulait utiliser son malheur pour créer quelque chose de positif, mais il a également réfléchi à ce qu’il voulait faire une fois son traitement terminé et qu’il serait à nouveau en bonne santé. »
