« L’État de droit n’est ni intangible ni sacré », a affirmé le nouveau ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau dans un entretien publié dimanche 29 septembre par le JDD.
Immédiatement, cette déclaration a provoqué l’indignation du nouveau gouvernement de Michel Barnier. Pour le Fois Britanniques, ces déclarations sont un « un nouveau casse-tête pour le nouveau gouvernement fragile du président Macron ».
Alors qu’une motion de censure promise par la gauche attend son équipe, le journal britannique souligne que « le ministre de l’Intérieur, partisan d’une ligne dure, a provoqué une nouvelle fracture au sein de la coalition gouvernementale, déjà en mauvaise posture ».
Avec de tels mots, Bruno Retailleau, « qui appartient à l’aile archi-conservatrice de la droite républicaine », sème la zizanie. Car si l’on peut supposer que ces commentaires “C’étaient sans doute un appel au parti de Marine Le Pen, ils ont attisé les partisans d’Emmanuel Macron, dont le soutien est tout aussi indispensable à la survie de Michel Barnier à son poste”.
Sulfateur
Avec de tels discours sur l’État de droit, “le nouveau premier flic de France […] utilise le sulfate pour l’immigration », estimé Le soir, en Belgique. Ce faisant, ce n’est pas