Paul Rouget, Media365 : publié le mardi 1er octobre 2024 à 8h44
Après avoir dominé le Sturm Graz en ouverture de la Ligue des champions, les Brestois se déplacent mardi à Salzbourg pour enchaîner, et « écrire une nouvelle page » d’histoire pour leur entraîneur Eric Roy.
Moins de deux semaines après avoir signé une victoire historique contre le Sturm Graz pour ses grands débuts européens (2-1), le Stade Brestois dispute jeudi (18h45) son deuxième match de Ligue des champions sur la pelouse d’une autre équipe autrichienne : Salzbourg. Et comme avant leur première continentale, les Finistériens ont enregistré une nouvelle défaite le week-end précédent. Et si celle du Parc des Princes contre le PSG était somme toute logique (1-3), celle de vendredi à Auxerre l’est beaucoup moins, notamment en raison de son ampleur (0-3).
« Tous les matches apportent des leçons. Après, c’est un épiphénomène, c’est un épisode d’une saison. Un épisode malheureux, mais il ne faut pas tout remettre en cause après un non-match”, a toutefois balayé Eric Roy lundi en conférence de presse, assurant que l’état d’esprit au sein de son groupe reste “très, très bon” : ” Nous devons aussi être conscients de la chance que nous avons de jouer dans cette compétition, une chance que nous avons méritée. Je pense que dans l’ensemble, ça se passe bien.
“Nous allons affronter un ogre”
Avant de revenir sur le petit exploit réalisé au Roudourou. « C’était important pour nous de faire un bon match pour pouvoir espérer dans cette compétition. Nous l’avons fait. Il faut maintenant pouvoir avancer. On sait qu’on va affronter un ogre dans ce championnat, que que ce soit au niveau de l’organisation, des infrastructures, de l’équipe, c’est un autre monde pour nous. Comme lors du premier match, on aura l’envie d’essayer d’exister dans ce match-là.
Et contre Salzbourg, troisième du championnat autrichien mais qui compte deux matches de moins, le technicien de 57 ans attend « la même chose mais en mieux. (…) Il faudra être capable de relever le défi physique et en intensité. Nous sommes capables de le faire. Chaque match a son histoire, et j’espère que nous pourrons en écrire une nouvelle. Il ne reste plus qu’à…