La médiation avait été lancée en février entre les deux parties, liée à 2029 pour la diffusion de huit matchs de la Ligue 1 par jour avec une clause de sortie à l’été 2026, après que Dazn a saisi le tribunal d’activité économique de Paris pour dénoncer le contrat avec la LFP.
Le conseil d’administration de la Ligue professionnelle de football (LFP) s’est entretenue mardi en faveur d’une pause à la fin du contrat du contrat le contraignant avec le diffuseur britannique Dazn, qui a refusé, a appris d’une source proche du dossier. Selon la même source, le conseil d’administration du LFP avait accepté à l’unanimité la médiation proposée par un médiateur, à savoir rompre avec Dazn, qui, dans la foulée, a refusé cette solution.
“Les médias LFP prennent note de l’échec de la médiation initiée début mars 2025”, a déclaré la LFP dans un communiqué de presse envoyé mardi soir. «Le contrat contraignant les parties reste en vigueur et les médias LFP attendent son partenaire qu’il exécute pleinement toutes ses obligations à cet égard.»
La médiation avait été lancée en février entre les deux parties, liée à 2029 pour la diffusion de huit matchs de la Ligue 1 par jour avec une clause de sortie à l’été 2026, après, selon l’équipe, Dazn a saisi le tribunal d’activité économique de Paris pour dénoncer le contrat avec le LFP. Selon le diffuseur, la LFP ne se battrait pas assez contre le piratage et les clubs ne feraient pas la promotion de la promotion du produit. En parallèle, Dazn a refusé pendant un certain temps de payer une partie de sa date limite de janvier, soit 35 millions d’euros, selon une ordonnance du tribunal de l’activité économique de Paris.
La LFP a ensuite saisi le Tribunal des activités économiques de Paris dans la procédure sommaire pour obtenir le paiement de la date limite, avant de se retirer, fin février, son action après avoir annoncé un accord avec la plate-forme de diffusion qui avait finalement réglé la somme due.