Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre britannique Keir Starmer et sont arrivés à Kiev le samedi 10 mai. Avec le Premier ministre polonais Donald Tusk, ILS doit participer à un sommet des dirigeants européens annoncés vendredi par le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Un appel conjoint pour un cessez-le-feu “complet” ET “inconditionnel” 30 jours entre Kyiv et Moscou seront discutés. Symboliquement, cLa visite d’Ette réagit également aux commémorations avec une grande fanfare du 80e anniversaire de la victoire sur l’Allemagne nazie qui s’est tenue vendredi sur la place rouge autour du président russe Vladimir Poutine et une vingtaine de dirigeants étrangers, dont le président chinois Xi Jinping. Suivez notre direct.
Train de nuit. Emmanuel Macron, Friedrich Merz et Keir Starmer sont sortis ensemble tôt samedi matin, qui les a apportés de Pologne. Ils ont ensuite été rejoints par le président Volodymyr Zelensky et Donald Tusk.
Emmanuel Macron a appelé à des «discussions directes» entre l’Ukraine et la Russie. Dans le cas d’une trêve de 30 jours, «Nous commençons les discussions directes de l’Ukraine-Russie. Nous sommes prêts à aider»a déclaré le président français dans une interview avec les chaînes françaises TF1 et LCI dans le train qui l’a conduit à Kiev. Si Moscou n’accepte pas le cessez-le-feu, «Il y aura des sanctions supplémentaires (…) beaucoup plus difficiles»a-t-il averti.
Planifiez un cessez-le-feu de trente jours. Emmanuel Macron a déclaré vendredi qu’il voulait réussir “Dans les prochaines heures et les prochains jours” à un plan commun américain-européen de cessez-le-feu en Ukraine. «Les Russes doivent dire oui. Pas trois jours pour amuser la galerie, si je peux dire, pour entourer le 9 mai et faire le défilé. Non, 30 jours»a déclaré le président français de la chaîne polonaise Telewizja Polska.
Signature d’un «traité d’amitié» franco-polish. Emmanuel Macron et Donald Tusk ont signé vendredi à Nancy (Meurthe -t-Moselle), un «Traité de l’amitié et de la coopération». Objeectif: «Consecratez l’amitié franco-polish et renforcez la sécurité, la défense, les infrastructures, l’énergie et toute une série d’autres domaines notre partenariat bilatéral»avait expliqué l’Elysée en amont de la signature de ce traité qualifié de «prime».