Engagé dans le championnat français de Ford Formula Series, la famille Cantounat a marqué la réunion d’ouverture, le premier week-end en avril, sur le circuit Val-de-Vienne. Le Jurançonnais Jean-Jacques, le père, et Sébastien, le fils, ont afflux sur les podiums en classant 1 respectivementest ET 2e de chacune des deux courses de la catégorie du patrimoine Kent (voitures avant 1981).
«C’est une ouverture de saison idéale», admet Jean-Jacques Cantounat. Nous n’avons pas pensé à faire de si bonnes performances. Maintenant, nous devrons rester en haut de la table. Ce nouveau championnat rassemble cinq réunions en 2025 un ensemble de 35 voitures en quatre catégories (Zetec 140 CV, Kent, Kentiage et Formule Renault 1 721).
La première réunion a eu lieu à Vienne, les autres auront lieu à Albi (du 2 au 4 mai), Charade (30 mai à 1est Juin), sur le ring du Rhin (du 12 au 14 septembre) et à Nogaro (17 au 19 octobre). «Avec Sébastien, nous voulions nous lancer dans cette nouvelle aventure», poursuit Jean-Jacques. Le budget est raisonnable, l’atmosphère amicale, les échanges et l’aide mutuelle entre les concurrents sont agréables. De plus, la limitation de la puissance des voitures à 140 chevaux permet des courses plus sereins. »»
À la recherche de partenaires
Pour le moment, en raison d’un budget resserré, la famille Cantounat – à la recherche de partenaires – ne participera qu’à trois des cinq réunions. Un choix qui pourrait l’empêcher de cibler le titre convoité après son excellent début de saison. «Nous ferons tout pour continuer notre élan», ajoute-t-il. Malgré un petit problème mécanique sur la boîte de vitesses de Sébastien, que nous avons résolu et les préoccupations d’allumage sur ma voiture après l’arrivée, sur lesquelles nous travaillons, l’optimisme est essentiel. »»
Le moral est bien fixé au sein de l’équipe dans laquelle Marcel Olivares, Yvon Chazal et Geneviève Cantounat apportent leur pierre au bâtiment. Seulement l’ombre sur le tableau, que le Grand Prix de Pau n’apparaît dans aucun calendrier, car rien ne remplace le bonheur de courir à la maison, devant le sien.