L’artiste visuel et critique d’art Brahim El Hains présente une série de peintures qu’il a réalisées entre 2017 et 2025 sur le thème «Le désert a une trace…», à la galerie d’art du Centre culturel d’Iklyle à Tangier, organisée par la Fondation Mohammed VI de promotion des œuvres sociales de la formation de l’éducation, du 16 mai au 5 juin 2025.
À l’occasion de cette exposition, un catalogue sera publié, notamment une biographie artistique, des représentations d’œuvres d’art, ainsi qu’une interview collective diversifiée sur le contexte thématique et les caractéristiques techniques et stylistiques qui marquent cette expérience créative. Cette interview avec El Haisan a été réalisée par une hôte distinguée d’Esthetes et de critiques d’art du Maroc et ailleurs. These are Tallal Moualla (Syria), Mohammed Benhammouda, Fetah Benameur, Sami Ben Ameur and Khalil Gouia (Tunisia), Mohammad al Ameri (Jordan), Mostapha Issa, Amal Nasr, Mohamed Mahdi Hemida (Egypt), Ali Najjar (Irak), Fakhriya al-Yyayai (Sultanat Oman), Abdulrahman Alsoliman (arabe saudite) et Maroc: Abdellah Cheikh, Chafik Zougari, Noureddine Fathy, Benyounes Amirouche, Aziz Azrhai, Driss Kattir, Hassan Laghdache and Dister Hermas, ainsi que deux critiques français Couturier et Discusan, ainsi que deux critiques françaises Couturier et Dister Hermas, ainsi que deux critiques français Couturier et Discussion, ainsi que deux critiques français Couturier et Dister Hermas, ainsi que deux critiques français Couturier et Dister Hermas, ainsi que deux critiques français Daniel Couturier et Discript Hermas, ainsi que deux critiques français Couturier et Discussion, ainsi que deux critiques françaises Couturier Couturier et Discrip Moukdad.
Selon Brahim El Haisan: «Le titre de cette exposition vise à être une extension des titres des expositions personnelles précédentes dans lesquelles j’ai travaillé sur le concept de la trace dans son sens visuel culturel et esthétique, en particulier« Le reflet de la trace «(Laayoune, Boujdour et Tarfaya, 1999)», «Plastique» (Casablanca, 2003) », Nomads« ».» Cartographie de l’effacement »(Rabat, 2018) et« Louange de la trace »(Essaouira, 2020)».
Cette expérience picturale ne fait donc pas exception à cette tradition, car elle met également la trace des peintures pigmentaires et des objets d’art synchronisés avec les étendues du désert… Cette trace apparaît et disparaît, elle est présente et absente autant qu’elle disparaît et meurt, imprégnée de couleurs et de dépôts de broderie qui donnent une dimension visuelle métamorphosée. En conséquence, la trace devient une mémoire renouvelée qui reflète le désir de briser la permanence et une forme visuelle qui est orientée vers l’éphémère comme caractéristique esthétique. Et cela, conformément à un concept qui a émergé avec le poète français Charles Baudelaire, qui a témoigné de la tendance de la beauté envers les artistes dadaïstes temporaires, éphémères et éphémères, ainsi que les artistes dadaïstes qui ont brandi le slogan.
C’est ainsi que la trace du désert s’enfuit et s’échappe au rythme de la dualité du nomadisme et de la stabilité.
En outre, à cette occasion, le samedi 17 mai, une table ronde sera organisée sur le thème «L’expérience de la trace dans l’art plastique», dirigé par le poète et journaliste, a déclaré Koubrit, avec la participation des critiques artistiques, des chercheurs et des artistes Chafik Zougari, Noureddine Fatihi, Benyounes Amirouche, Driss Kattig Youssef Saadoune et Hassan Laghdache, ainsi que la présentation du projet de livre «Watchers of the Trace – Arab Pictural Experiences» de Brahim El Haisan, présenté par la critique d’art Abdellah Cheikh.