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Champion non-tron, logiquement -.

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Champion non-tron, logiquement -.
Nicolas Bencivenga et Alfred Changeur, , ont tous deux levé le bouclier les yeux de Rémi Lamerat, ancien joueur du XV de et l’ Bordeaux-Bègles en particulier (2e à de la droite). Boris Rebeyrotte

Les couverts ont largement battu Lalinde (55-10) dimanche, dans la finale de Terroir, à Cénac. Une finale qu’ils ont dominé avec leurs têtes et leurs épaules et qui valide une très bonne saison.

L’image est magnifique. Au coup de sifflet , Nicolas Bencivenga, à l’extérieur du groupe, soulève le bouclier d’Alfred Changeur, le capitaine de non-tron. Un symbole de la bonne ambiance qui règne dans ce groupe. Ils voulaient marquer l’histoire du club. Ils l’ont fait. Et de quelle manière! Il suffit de dire immédiatement, il n’y a pas eu de suspense ce dimanche entre Valiant Lindois, mais en dessous de non-Tronnais maîtrisant leur rugby. Histoire pour respecter la tradition, ce bon vieux «Jean-Michel de pénalité» (Comprendre le test de pénalité) a ouvert la marque sur un Maul effondré. Mais alors, quel est le cours des trois quarts de CSN. Toute la saison, les couverts ont produit des matchs et il a été vu en finale. Au quart d’une heure de , le break a été terminé, à la suite d’un essai électrique de Sokautaua.

Non-tron au-dessus

Lalinde a résisté du mieux que possible mais n’a pas respecté le jeu. Les hommes de Lakouit ont persisté pour entrer en contact, au lieu de prendre les points. Curieux, surtout lorsque vous avez un buteur dans son marché du travail comme Mouhoubi ‘après de longues minutes sur la ligne adverse, ils ont néanmoins trouvé l’ouverture du fetirini Hooker (10-7, 32e). Mais dès que non-tron a accéléré, le danger s’est fait sentir. Sur une balle perdue, c’est le capitaine du qui a donné l’air au CSN (17-7, mi-temps).

À son retour des vestiaires, Mouhoubi a passé trois points, histoire. Ensuite, la cavalerie non-tron a été mise en mouvement. Six essais enregistrés en deuxième période. Juste ça. Y compris deux doubles des ailiers, assez rares à signaler, surtout lorsque vous connaissez la passion des résidents de Bandiat pour le jeu des attaquants. Dans le sillage d’un ensemble de domicile, les trois quarts rouges et bleus ont livré un véritable récital. Il y avait une d’écart entre les deux équipes.

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Les non-tronnais étaient une encoche au-dessus. Boris Rebeyrotte

Quel beau joueur reconnu, Maati Lakouit, l’entraîneur de Lindois, après coup.

La saison validée

Lalinde ne quitte plus son camp et a offert des munitions d’attaque aux grottes de canne. Le pire, pour l’USL, est peut-être que les tests collectés étaient des attaques placées, et non des ballons de récupération. Juste avant l’époque de jeu, Mass a été dit. Surtout, non-Tron n’a pas abandonné le pavillon avec engagement et a été discipliné. Quoi offrir un succès de prestige et un morceau de bois qui récompense le travail des deux dernières saisons. Quant aux Lindois, nous disons que la route de Cénac devait être très longue, à ce -là ce dimanche soir. Surtout depuis, Irony of Rugby, ils iront dimanche prochain, en demi-finale de la New Aquitaine League, du côté de ‘Nonron. Une escapade verte du Périgord qui peut se transformer en cauchemar. Compte tenu de l’écart entre les deux équipes, il est difficile d’imaginer que l’USL a renversé la table et, dans une semaine, de trouver les ressources pour concourir car elles ont été améliorées dans tous les domaines.

Yann Boissel, l’histoire de la maison rouge et du bleu pouvait, quant à lui, se permettre une bière, la saison était magnifique et n’est pas terminée.

Boris Rebeyrotte
 
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