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Le Pakistan accuse l’Inde d’avoir tiré des missiles sur les portes d’Islamabad -.

Le Pakistan accuse l’Inde d’avoir tiré des missiles sur les portes d’Islamabad -.
Le Pakistan accuse l’Inde d’avoir tiré des missiles sur les portes d’Islamabad -.
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Missiles

Pakistan accuse l’Inde d’ tiré sur les portes d’Islamabad

L’escalade entre New Delhi et Islamabad s’est poursuivie malgré les appels au calme.

Publié aujourd’hui à 2h18 Mise à il y a 26 minutes

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Bâton

Le Pakistan a accusé l’Inde samedi d’avoir abattu des missiles sur des bases aériennes, dont une près d’Islamabad, tandis que la pire confrontation entre les deux puissances nucléaires depuis des décennies a déjà tué une cinquantaine de civils des deux camps.

Peu de temps avant Dawn, alors que deux explosions venaient de remonter à Islamabad et à sa ville jumelle Rawalpindi, siège de l’armée et du renseignement, le porte-parole de l’armée pakistanaise est apparu à la télévision d’État.

“L’Inde a attaqué les bases de Nour Khan, Mourid et Chorkot avec des missiles (…)”, a-t-il déclaré. “Maintenant, attendez notre réponse”, a-t-il conclu en anglais.

Attaques de drones

Si Islamabad prétend n’ayant pas encore effectué la «réponse» qu’il a promis pour les grèves indiennes mercredi, pour la deuxième soirée consécutive, New Delhi a déclaré que c’était la cible d’une vague d’attaques de drones pakistanais au Cachemire et à Penjab, dans le nord-ouest de son territoire.

Le chef de l’exécutif en cachemire, Omar Abdullah, a rapporté des «détonations intermittentes» à Jammu. «Plus d’électricité maintenant. Nous entendons des sirènes dans la ville», a-t-il écrit sur X.

Mercredi, l’Inde a mené des frappes sur le sol pakistanais, en représailles pour une attaque commise le 22 avril en cachemire indien. L’attaque qui a tué 26 civils n’a pas été revendiquée, mais l’Inde accuse le Pakistan malgré ses refus.

Depuis lors, des frappes de missiles, des tirs d’artillerie et des attaques de drones se suivent tandis que les deux voisins, rivaux depuis leur douloureux partition en 1947, ignorent les appels à l’escalade de l’étranger.

Aéroports fermés

L’Inde a fermé 24 aéroports et les médias locaux affirment que le trafic aérien sera suspendu jusqu’à la semaine prochaine.

Déjà jeudi soir, l’Inde avait signalé des «attaques multiples» contre son incendie de territoire et d’artillerie qui a continué toute la nuit le long de la «ligne de contrôle», la frontière de facto qui partage le cachemire.

Devant la presse, un porte-parole de l’armée, Vyomika Singh, a décrit «les incursions (…) avec environ 300 à 400 drones», selon elle. L’officier a également mentionné les «pertes et blessés» dans les deux camps, sans plus de détails.

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L’armée pakistanaise a déclaré qu’elle avait abattu 77 drones indiens depuis le début des hostilités. Les affirmations des deux camps sont impossibles pour vérifier une source indépendante, en particulier parce que de nombreuses zones sont inaccessibles.

Aucun signe d’apaisement

Vendredi, les deux n’ont donné aucun signe d’apaisement et ont continué à affiner la responsabilité des combats et les pertes civiles qu’ils causent.

L’International Crisis Group International Reflection Center (ICG) s’inquiétait de «la rhétorique belliqueuse, de l’agitation intérieure et de la logique boutisée de la surbritude» des deux voisins.

Si des deux côtés de la frontière, les dirigeants et les grades élevés multiplient les menaces, les habitants, ont enterré leurs morts et essayer de reprendre le cours de leur vie sous la menace des bombardements.

«Ce matin, je suis venu sur le marché pour trouver un peu de travail, mais est fermé», déplore l’AFP Mohammed Lateef Bhat, un résident d’Uri, en cachemire indien. «Je vais me vider.»

Écoliers privés

«Nos vies ne valent rien, à tout moment, des familles entières peuvent disparaître», inquiète Nassir Ahmed Khan, 50 ans, de son village près de la ligne de contrôle. «Nos enfants ne peuvent pas dormir et nous ne pouvons pas partager un repas tranquillement.»

Des dizaines de millions d’enfants sont privés d’école des deux côtés de la frontière.

Vendredi, le chef de la diplomatie saoudienne, Adel al-Jubeir a atterri sur la base de Nour Khan.

Après son rival iranien qui s’est rendu à Islamabad puis à Delhi ces derniers jours, Ryad essaie de pousser les deux voisins à «désescalade» et cherche à «travailler pour résoudre tous les sujets de l’argument par le dialogue et les manières diplomatiques», selon un communiqué de presse de la diplomatie saoudienne publiée par l’agence de presse officielle saoudienne (spa).

La confrontation entre les deux fait également rage sur le front de l’information.

L’Inde a commandé plus de 8 000 comptes jeudi, y compris ceux des médias internationaux. Le réseau social s’est dit conforme à contrecœur, dénonçant une «censure». New Delhi avait déjà exigé l’interdiction en Inde de plusieurs récits de médias politiques, célébrités ou pakistanais.

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