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Le Pakistan et l’Inde font référence à la responsabilité des combats -.

Le Pakistan et l’Inde font référence à la responsabilité des combats -.
Le Pakistan et l’Inde font référence à la responsabilité des combats -.
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Les musulmans crient des slogans anti-indiens à la suite d’un succès qui est tombé sur Muzaffarabad, la capitale de la région pakistanaise du Cachemire .

AFP

Pakistan et l’Inde ont de rendu la responsabilité des combats mortels vendredi qui s’y sont opposés pendant trois jours à leur frontière. Les appels à l’escalade qui se suivent dans les étrangères n’ont rien changé.

Depuis que les frappes indiennes ont été réalisées mercredi sur le sol pakistanais en représailles pour l’attaque le 22 avril dans la partie indienne du cachemire, des frappes de missiles, des tirs d’artillerie et des attaques de drones se suivent.

L’Inde accuse le Pakistan de soutenir le groupe djihadiste qu’il soupçonne d’ assassiné 26 civils dans la ville touristique de Pahalgam, qu’Islamabad nie fermement.

Missiles des deux côtés

Des coups de missile indiens ont été immédiatement suivis d’une réponse pakistanaise, provoquant les deux pouvoirs militaires dans leur confrontation militaire la plus intense pendant plusieurs décennies.

Vendredi, l’Inde a signalé des coups de feu pakistanais la nuit « au long de la frontière» et «plusieurs attaques» de drones, repoussés selon lui.

Le lieutenant indien-Colonelle Vyomika Singh a assuré que le Pakistan “a essayé des incursions de drones à 36 endroits avec environ 300 à 400 drones”, tandis que l’armée pakistanaise a déclaré qu’elle avait abattu “77 drones”. Affirmations impossibles à vérifier une source indépendante, en particulier parce que de nombreux domaines sont inaccessibles.

«Pertes et blessés»

Les gradations indiennes ont mentionné «les pertes et les blessés» dans les deux camps, sans plus de détails.

Le Group de crise du Centre de international (ICG) met en garde contre «les risques d’une escalade» en raison de «la rhétorique belliqueuse, de l’agitation domestique et de la logique étroite de la surbritude» des deux voisins.

Vendredi de nouveau, l’armée pakistanaise a déclaré qu’elle n’était pas destinée à s’engager dans un désescalade, tandis qu’Islamabad a accusé New Delhi d’avoir rapproché les deux voisins «d’un conflit majeur».

Plus tôt, le ministre indien des Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar, a déclaré qu’il n’était «pas avec l’intention» de son de «provoquer une nouvelle escalade». Tout en promettant une «réponse très ferme» en cas de nouvelle attaque.

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La population est en dessous

Si des deux côtés de la frontière, les dirigeants et les grades élevés multiplient les menaces, les habitants, ils enterrent leurs morts et disent qu’ils se préparent au pire.

Des dizaines de millions d’enfants sont privés d’école. Du côté de l’Inde, les écoles ont été fermées dans tout le cachemire indien ainsi qu’à Penjab et au Rajasthan. Du côté du Pakistan, les écoles de Cashmere et Pandjab Pakistanai, ainsi qu’à Islamabad ne rouvriront pas avant lundi.

Vingt-quatre aéroports du nord-ouest de l’Inde ont été fermés.

Jeudi soir, la partie indienne du cachemire, dont les deux pays revendiquent toute la souveraineté, a été ébranlée par de nombreuses explosions.

New Delhi les a immédiatement attribués à une série de grèves de drones et de missiles pakistanais ciblant les installations militaires. “Aucune perte. La menace a été neutralisée”, a déclaré le ministère indien de la Défense.

Plus tôt dans la journée, c’était Lahore, la grande ville pakistanaise bordant l’Inde, qui s’était réveillée au son des explosions.

NOUVELLE attaque pakistanaise vendredi soir

Une nouvelle attaque des drones pakistanaises a ciblé la région du Cachemire indienne (nord-ouest) pour la deuxième et la soirée consécutives, a déclaré une source du ministère indien de la Défense à l’AFP.

Cette attaque a ciblé les villes de Jammu et de Samba, dans la partie indienne de cette région contestée, ainsi que celle de Pathankot, dans l’État voisin de la Penjab, a déclaré cette source, ajoutant que la défense anti-aérienne indienne avait riposté.

Le chef de l’exécutif en cachemire, Omar Obdallah, a rapporté des «détonations intermittentes» sur son compte sur son compte à Jammu où il est. «Plus d’électricité maintenant à Jammu. Nous entendons des sirènes dans la ville», a-t-il également écrit.

Les journalistes de l’AFP ont également signalé des incendies d’artillerie intenses dans le village indien de Poonch vendredi soir, le long de la frontière.

(AFP)

 
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