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Index, le nouvel outil de référence pour la communauté autochtone de Montréal -.

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réseau communautaire autochtone de Montréal (réseau) a dévoilé l’index jeudi, une nouvelle plate-forme visant à centraliser des informations sur les organisations et programmes autochtones dans la métropole pour aider les membres des Premières nations, les métis et les inuits.

L’indice est destiné à Autochtones qui vivent ou passent par la grande villeEn plus de pouvoir guider les haut-parleurs qui travaillent avec eux.

Étudiants, familles, personnes à la de travail et de personnes sans abri… toutes les Autochtones avec des pieds à Titià: Ke peut trouver des ressources. Pour faciliter la tâche, le site permet de circonscrire la recherche, en particulier selon les mots clés, l’emplacement et la langue parlée par l’organisation.

C’est vraiment idéal. C’est comme un Google indigène, un Kijiji indigène!Candeur lance Johnny Boivin, coordinateur des communications pour le réseau.

Index, le nouvel outil de référence pour la communauté autochtone de Montréal -.

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Johnny Boivin fait partie de l’équipe du réseau.

Photo: Radio-Canada / Philippe Granger

Cette personne Innu et Atikamekw croit également qu’elle aurait pu bénéficier de cette ressource dans le passé, en particulier pour trouver du travail.

Par exemple, il y a une bonne partie de la communauté autochtone qui n’a pas nécessairement un diplôme secondaire ou un diplôme universitaire. J’ai chuté après le secondaire 3.

Si j’avais eu un service comme celui-ci pour mes études ou pour de l’aide pour trouver un emploiIl ne m’aurait pas fallu autant d’années pour arriver là où je suis.

Une citation de Johnny Boivin, coordinateur des communications pour le réseau

Près de 250 personnes se sont réunies à la Société des Arts Technologie (SAT) pour mettre en évidence l’arrivée de la nouvelle ressource, qui rassemble 40 organisations et 115 programmes, soigneusement sélectionnés par l’équipe d’index.

Une demande des organisations et de la communauté

L’idée de cette plateforme centralisé, modifiable et convivial s’est produit à la suite d’une observation assez simple: il est difficile d’avoir des informations claires, exactes et précises sur une organisation et sur les ressources qui y sont liées.

Les problèmes sont disponibles de plusieurs manières. Certaines organisations n’ont pas de site Web et ne sont présentes que sur les réseaux sociaux. D’autres ne mettent pas à leurs informations, telles que leur , leur emplacement et leurs services. Parfois, même, les organismes et les programmes pour les Autochtones n’existent plus, mais il n’est pas indiqué sur leur site Web ou sur leurs réseaux sociaux.

Une page de la plate-forme d'index.

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La plate-forme d’index a été lancée jeudi à Montréal.

Photo: réseau

Katia McEvoy, responsable des communications pour le réseau, dit que cette situation est simplement expliquée par le manque de ressources des organisations, qui priorisent leurs activités frontales au détriment de leurs structures de .

Les organisations doivent constamment gérer les urgencesElle résume.

Ce dernier, qui a à la fois une expérience de communication et une expérience de travail dans le domaine, indique donc qu’une question s’est imposée au cours de la dernière décennie: quelles informations avons-nous accès et comment pouvons-nous les partager?

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C’est un projet qui est parti de la communauté. C’est la communauté qui l’a demandéLe Cata McEvoy.

L’équipe du réseau s’assurera également que l’indice est utilisé par les travailleurs qui frottent les épaules avec la population itinérante de Montréal, pour s’assurer qu’ils peuvent également profiter du réseau d’aide. L’outil vise donc non seulement à la communauté autochtone de Montréal, mais aussi aux travailleurs en ligne, avec qui l’outil sera partagé.

Je serai en paix pour les envoyer [vers ces ressources-là]Explique Sylvie Chassé, conseiller en emploi du comité de développement des ressources humaines des Premières nations du Québec (Cdrhpnq)L’une des nombreuses organisations énumérées dans l’index. Elle ajoute que la liste augmentera la visibilité de son corps.

Par les indigènes, pour les indigènes

À ses débuts, le projet Index n’était qu’un document de deux pages, a souligné Johnny Boivin lors de la présentation de la plate-forme, au centre-ville de Montréal.

Au fil des ans, et après de nombreuses consultations et tests, le réseau a pu affiner sa plate-forme numérique, en particulier grâce à l’aide d’Onakì – une entreprise autochtone spécialisée dans la consultation et la gestion de projet -, un soutien financier (en particulier de la ville de Montréal et du gouvernement fédéral) et une collaboration constante avec les organisations concernées.

Randy Legault-Rankin parle dans un microphone.

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Le commissaire aux relations avec les peuples autochtones de la ville de Montréal, Randy Legault-Rankin, a prononcé un discours lors du lancement de l’indice.

Photo: Radio-Canada / Philippe Granger

Ces organisations doivent répondre à trois critères pour apparaître sur l’indice: elles doivent être à Montréal, elles doivent être pour le non-but et doivent être indigènes ou avoir un destiné exclusivement aux indigènes.

Les organisations qui ont des programmes natifs non exclusives, mais qui servent parfois des indigènes, ne sont pas inclus.

C’est devenu un bon argument, lorsque nous parlions avec les organisations de mamelon, pour dire: “Ce n’est pas suffisant, vous devez en faire plus”Juge Katia McEvoy.

Une plate-forme qui a l’intention de rester

Maintenant que l’index est lancé, le réseau n’a-t-il pas peur d’être ciblé par des difficultés en termes de ressources, l’empêchant de mettre à jour sa plate-forme?

Pour le moment, notre équipe est très stable, donc nous ne nous inquiétions pasKatia McEvoy, qui indique que le réseau ne fait pas le première ligne Et est précisément là pour faire des ressources humaines et des communications.

Katia McEvoy parle dans un microphone.

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Katia McEvoy est responsable des communications pour le réseau.

Photo: Radio-Canada / Philippe Granger

Un optimisme selon lequel il se manifeste également par le fait que les organisations avec lesquelles le réseau collabore ont été extrêmement engagés au long du processus Et ont donc une plus grande confiance dans ce service et sa durabilité.

Le mot d’ordre pour les mois à venir: mise à jour. Le réseau espère améliorer sa plate-forme, en particulier en offrant aux organisations de pouvoir se connecter à la plate-forme et modifier leurs informations par elles-mêmes. Jusque-là, le réseau a l’intention de contacter les organisations chaque année pour s’assurer que les informations sur leur plate-forme sont toujours exactes.

Pour répondre aux besoins de la population autochtone qui n’ont pas accès à des outils numériques, tels que les sans-abri, il prévoit également de distribuer des tracts indiquant les ressources disponibles.

 
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