Les discussions sur la guerre en Ukraine se poursuivent. le secrétaire d’État américain Marco Rubio et Donald Trump Steve Witkoff envoient jeudi Emmanuel Macron à Paris. Une visite pour essayer de faire avancer les pourparlers de paix engagés par le président américain.
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Publié 17/04/2025 12:45
Temps de lecture: 2min
Les négociations ont été évoquées pendant plusieurs semaines concernant la guerre entre l’Ukraine et la Russie. Sur le terrain, les forces armées ukrainiennes craignent une offensive russe et attendent un engagement plus franche de la communauté internationale aux côtés de Kiev. C’est ce que ces soldats disent en Franceinfo. Ils se battent en ce moment sur le devant près de Kharkiv au nord-est du pays.
Dans la région de Koupansk, les agressions russes sont quotidiennes. Les postes ukrainiens sont bombardés, harcelés par des drones. Le lieutenant-colonel Volodymyr Porvatov se prépare même à donner dans le sol, puis pour lui, le soutien des Occidentaux ici est vital. «Sans les États-Unis, nous ne réussirons pas, je vous le dis direct. Nous avons besoin d’un minimum de soutien, et sans l’Europe, ce sera très difficile. Dans ce cas, il n’y aura plus d’Ukrainiens, ils mourront tous, mais ils mourront pour leur pays».
Cette brigade a subi de nombreuses pertes, admet le lieutenant-colonel, sans faire avancer des chiffres. L’idée de donner à Moscoua et quatre territoires partiellement occupées par les Russes ne l’aime pas du tout, même si c’est un point central pour un éventuel accord de paix selon l’émissaire américain après sa rencontre avec Vladimir Poutine. Lors de l’évocation, Volodymyr Porvatov se lance: «Vous avez vu combien de cimetières il y a en Ukraine maintenant, et combien de patriotes sont morts? Ce n’est pas pour abandonner nos territoires, les patriotes ukrainiens ne sont pas d’accord avec cela. Poutine se brisera les dents sur ces quatre régions.»
Désormais, le pieu de cette 114e brigade ne consiste pas à donner dans un pouce de terre en espérant que les forces ukrainiennes devant les autres fronts: dans le Donbass et dans le sud, dans la région de Soumy. L’idée n’est pas de repousser les Russes, trois autres, mais de peser dans les négociations.
«Toutes les guerres se terminent autour de la table de négociation et par diplomatiereconnaître Pavlo velihorskiy, Commandant d’une unité à Koupiansk. Mais pour récupérer nos territoires, nous avons besoin de munitions, d’armes, de nouvelles technologies, de données de renseignement. Nous pouvons y arriver “. Les pays de l’Union européenne ont du mal à accroître leur aide, le plan de livraison de deux millions de munitions d’artillerie lourde à Kiev est toujours en instance.