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Voici les relations contrastées de Donald Trump avec les dirigeants mondiaux -.

Voici les relations contrastées de Donald Trump avec les dirigeants mondiaux -.
Voici les relations contrastées de Donald Trump avec les dirigeants mondiaux -.
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«Femme merveilleuse», « ami» ou «acteur modeste»: Trump, qui reçoit président de Salvador Nayib Bukele à Washington lundi, entretient des relations contrastées avec les dirigeants mondiaux, souvent forcés d’épargner la chèvre et le chou pour obtenir ses faveurs.

Favoris

Nayib Bukele (Salvador)

Le leader de 43 ans, connu pour sa politique «Iron Grip» contre le crime, est devenu un partenaire clé du président américain dans sa campagne d’expulsion des migrants. En mars, il a fait expulser plus de 200 Vénézuéliens par Washington dans une prison à haute sécurité.

Depuis lors, les deux hommes se sont conformés aux réseaux sociaux. Bukele a promis d’apporter à la Maison Blanche «plusieurs canettes de Coca Light», la boisson préférée de Trump.

Benjamin Netanyahu (Israël)

Le Premier ministre israélien a été le premier chef étranger reçu à la Maison Blanche après la nomination de Trump, et le seul à y être allé deux fois.

Pour Netanyahu, le milliardaire est «le meilleur ami qu’Israël n’a jamais eu à la Maison Blanche». Dans une vidéo générée avec l’IA et diffusée par Trump fin février, les deux hommes sirotent un cocktail dans une bande de Gaza imaginaire, converti en «Riviera du Moyen-Orient» conformément aux souhaits de l’Américain.

Javier Milei (Argentin)

Climatosceptique, Antiwoke, admirateur d’Elon Musk, soutien fervent d’Israël, le président argentin s’aligne avec Trump dans de nombreux domaines. Peu de temps après son élection en novembre 2024, Trump a appelé Milei et lui a dit qu’il était son «président préféré» selon la présidence argentine. L’Argentin a assisté à sa nomination le 20 janvier.

• Regardez également ce podcast vidéo de l’émission de Mario Dumont, diffusé sur les plates-formes Qub et simultanément sur 99,5 FM Montréal:

“Futes”

Emmanuel Macron ()

Des poignées de main émouvantes et énergiques, de petits compliments et des marques d’affection: le président français a rejoué avec Trump lors de sa visite à Washington en février, un duo de camaraderie diplomatique est déjà monté lors du premier mandat du républicain.

“C’est un intelligent”, a plaisanté le président américain de Macron. Cette proximité a permis de désamorcer les tensions lorsque les Français l’ont corrigé en public sur le soutien financier européen en Ukraine.

Claudia Sheinbaum (Mexique)

Malgré les critiques de son concernant la contre l’immigration illégale et le trafic de drogue, le premier président du Mexique semble trouvé la méthode pour gérer son quartier voisin, entre le pragmatisme, la prévention et la fermeté.

Pour Trump, le chef de gauche est «une femme merveilleuse».

Keir Starmer (Royaume-Uni)

Le Premier ministre britannique est venu à Washington en février avec une invitation royale rare qui a ravi Donald Trump, flatté de devenir le premier manager à faire une deuxième visite d’État au Royaume-Uni.

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Le républicain considère Starmer comme un négociateur «formidable» et les derniers juges que son pays a un «vrai ami» à la Maison Blanche.

Le puissant

Vladimir Poutine ()

Avec un appel téléphonique inattendu en février, le président russe a été rédigé de manière spectaculaire dans le diplomatique de Donald Trump, qui a promis de mettre fin à la en Ukraine.

L’Américain a récemment déclaré qu’il avait «toujours eu une bonne relation avec Poutine», qu’il juge «intelligent». Mais il a également dit qu’il était «furieux» contre lui face aux négociations lents sur un cessez-le-feu avec Kyiv.

Xi Jinping (chinois)

Si Donald Trump avait déclaré lors de son premier mandat que le président chinois n’était «peut-être plus (son) ami», il lui a parlé au téléphone peu de temps avant son inauguration en janvier.

L’Américain a assuré à la mi-mars que Xi irait à Washington «dans un avenir assez proche», mais la guerre des affaires s’est ouverte entre les deux grandes puissances pourrait avoir assombri cette perspective.

• Écoutez également cet épisode de Balado tiré de l’émission Benoit Dutrizac, diffusée sur les plates-formes Qub et simultanément sur le 99,5 FM Montréal:

Narendra Modi (INDE)

Le président américain a complimenté le Premier ministre indien lors de sa visite à Washington en février, l’appelant «un négociateur beaucoup plus formidable que moi».

Modi est “un homme très intelligent et un grand ami pour moi”, a déclaré Trump.

Le bouc émissaire

Volodymyr Zelensky (Ukraine)

Le président ukrainien est un objectif privilégié. Trump l’a décrit comme un «dictateur» et un acteur «un succès modeste», et accusé d’avoir fait «un travail terrible».

Leur altercation dans le ovale fin février a marqué les esprits. Depuis lors, Zelensky essaie de ramasser les pièces.

Justin Trudeau (Canada)

L’ancien Premier ministre canadien fait la une des journaux de Trump, jugeant notamment «stupide» son offensive commerciale avec les tâches de douane.

Ce dernier était en retour est un plaisir de faire appel à lui de manière péjorative «gouverneur Trudeau», en référence à son désir de faire du Canada le 51e État américain.

 
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