Il avait besoin «Écrivez pour m’exonérer, effacer l’indifférence et le rejet qu’il m’avait inspiré». Même si “Rien ne peut effacer les enceintes dans le temps.”
Il a décidé de raconter la vie d’immigrant de son père. Une histoire très romantique, marquée par un bonheur rare et de nombreuses routes. Écrit avec une grande finesse des sentiments, le livre va au-delà de la seule histoire de la famille de Giuseppe Santoliquido. C’est toute l’histoire de l’immigration italienne, de toute immigration, qui est découverte en filigrane. Et encore plus largement, l’histoire évoque les malentendus mélangés au mépris et à l’amour qui peuvent survenir entre tous les fils et leurs pères.
La famille de l’écrivain a ses racines dans le village de Gallinaro, perdu dans les montagnes, à mi-chemin entre Rome et Naples. Le grand-père, suivi de sa famille, est arrivé dans le sérage en 1948 dans le cadre de l’accord entre les immigrants qui sont venus travailler en Belgique et la livraison de charbon en Italie. «Dès le départ, Exile s’est placé sous les principes fondamentaux du travail et de l’austérité, d’une volonté absolue d’intégration.»
Le rêve de devenir avocat
Le père est un étudiant brillant et ses professeurs le voient devenir avocat comme il le souhaitait. Mais le grand-père refuse le net: «C’est une question de dignité, Il a dit. Afin de ne pas créer d’injustice, mes fils pratiqueront tous une profession manuelle. “
Ce jour dira au père beaucoup plus tard, ces mots avaient «La dureté d’un poison mortel. J’ai immédiatement eu l’impression que j’allais mener une vie jusqu’à ma mort qui ne serait pas à moi.»
tourDommage également pour afficher leur dégradation.
L’écrivain, l’académique est diplômé des sciences politiques, sans aucun doute, a-t-il écrit, “Reprend seul le rêve avorté du Père, l’inaccuteur.”
Alors que le grand-père s’est suicidé, la famille est ancrée en Belgique. Le père de l’écrivain travaille dans un garage sératif, dit Wallon. À force d’effort, il peut acheter un garage dans Herstal qui fonctionne bien. Mais la femme italienne n’aime pas et force toute la famille à retourner à Gallinaro, “Ce qui a tout cassé” dira le père.
-Fiasco de retour
Giuseppe Santoliquido parle de ce paradoxe «Belge en Italie et en Italien en Belgique» : «C’est en écrivant beaucoup plus tard, qu’une sorte de pays d’encre a enraciné en moi, où les champs ensoleillés prolongent la moquerie supérieure, où les vignobles et les oliviers, perchés sur les terrils, dominent le temps et aussi la mort. Un pays prouvé spirituellement, au carrefour de mes influences, où mon cœur, comme placé devant un miroir, a fini par lui-même.»
Le retour en Italie est un fiasco et la famille revient, cette fois à Jemeppe-sur-Meuse. Le père doit commencer son travail de mécanicien de voiture.
Joseph Satolquid au au tést are 2025
Le fils essaie d’étudier à Rome mais échoue et travaille dans le garage avec son père. Il le pousse à voir grand, pour devenir un concessionnaire, fustige sa lâche présumée, son refus de prendre des risques. «Pride dilatée, je me suis opposé à sa prudence le besoin d’ambition. «Le père cède, va fortement et, après quelques mois de succès, la faillite regarde et le fils quitte le garage pour, une étude de classe, à l’Université de Liège. Et le «Cadeau du père» est là: laisser son fils vivre son ambition d’écriture.
Aujourd’hui, il dit qu’il avait honte de la honte qu’il avait de son père. Il lui propose par cette histoire, un superbe hommage, une demande de pardon qui est en même temps, un appel lancé à tous pour ne pas être “Abandonnez vos rêves.”
⇒ Cadeau du père | 0. MECIT | | Gallimard, 205 pp. 20 € 2 € 1: € €
EXTRAIT
“Au lieu d’explorer le plus profond de sa solitude, j’ai riposté en le narguant, en l’abaissant. J’ai pointé mes épaules avec chacun de ses mots, je me suis plaint quand il a érasé trop fort, est allé quand il a fait du bruit en mangeant, ronflant devant la télévision. Regardez comment je suis loin de toi, je lui ai dit à ma manière, car je suis supérieur. “