Le Figaro Récemment publié une liste de 49 projets majeurs qui sont actuellement surveillés par Direction nationale des renseignements territoriaux (DNRT). Qu’il s’agisse de l’extraction des minéraux, des infrastructures de transport ou de l’enterrement des déchets, ces projets attirent l’attention ennuyeuse des militants environnementaux les plus radicaux. Ce dernier, souvent attaché à des mouvements comme Soulèvements terrestres ou Rébellion d’extinctions’opposer fermement à ces initiatives qu’ils considèrent comme nocives pour l’environnement, soulignant les conséquences écologiques.
Tensions écologiques écologiques
Il y a deux ans, le site de Saint Soline Dans les deux-sèvres, il y avait le théâtre de violents affrontements autour du projet Mégabassines, un dossier particulièrement controversé. Selon un communiqué daté du 18 avril établi par le DNRT, 49 sites À travers le pays, ont été identifiés pour leur potentiel à déclencher de forts différends.
Parmi ces projets supervisés, cinq projets majeurs pourraient bien susciter de fortes oppositions. Par exemple, le projet «CIGEO» à Brouiller Dans la Meuse, qui vise à enterrer les déchets radioactifs, avait déjà augmenté la température en février avec l’envoi d’une lettre inquiétante par des militants annucléaires à un responsable de l’ANDRA. Nous trouvons également le projet ferroviaire du Nouvelle ligne du sud-ouest (LNSO) Connexion de Bordeaux à Toulouse et Dax, ainsi que la construction d’une ligne électrique à très haute tension reliant la France à l’Espagne via un tunnel de 27 kilomètres.
actions militantes et moyens opérationnels
Les actions des militants environnementales se diversifient et se resserrent, ce qui soulève des questions sur la liberté d’expression. Le Radical Collective of Land Rasses a annoncé qu’il allait ralentir le travail du LNSO. De plus, les militants ont occupé une forêt près de Hossegor pour faire entendre leur insatisfaction face au projet Cat Line.
Selon Bertrand Chamoulaud, directeur national des renseignements territoriaux, nous observons une montée vers des sabotages nocturnes et des blocages discrets sur certains sites.
Qui sont les acteurs et quels projets en jeu?
Des groupes tels que les soulèvements terrestres et l’extinction de rébellion sont souvent au cœur de ces différends, intervenant sur 23 des 49 grands projets répertorié. De plus, dix projets sont considérés comme radicalisés, notamment en particulier les mines de lithium dans le canal d’Alliers et de Seine-Nord-Europe.
Cependant, ce n’est pas le même acabit pour tous les projets. Il y a dix-sept sites classés avec un «défi faible», comme les parcs photovoltaïques situés dans l’Alpes-de-Haute-Provence et les Ardennes, malgré des défis climatiques croissants. De plus, dix-sept autres sites n’ont pas encore suscité la mobilisation active, comme l’autoroute A69 reliant Toulouse aux castres.
Science, idéologie et modernisation
Au-delà de ces projets, il y a un rejet de plus en plus marqué en Occident face à ce que beaucoup perçoivent comme une écologie punitive. Aux États-Unis, cette tendance se manifeste par des attaques contre la science elle-même: démantèlement des agences scientifiques, réduction des budgets alloués à la recherche et à la pression des universités.
Dans cette situation complexe dans laquelle la science et l’idéologie se mélangent, il est important d’adopter une approche constructive pour rassembler les progrès technologiques et la protection du climat face au réchauffement climatique. Bertrand Piccard propose ainsi une modernisation industrielle axée sur les énergies renouvelables, la rénovation énergétique des bâtiments ou le remplacement de l’ancien équipement.