Alors que Montréal a toujours ses blessures après l’effondrement de CH contre Washington, une nouvelle inattendue a provoqué un grand soupir de soulagement parmi les fans de la demi-dieu russe.
Ivan Demidov, notre demi-dieu national, n’est pas retourné à Saint-Pétersbourg, ni ailleurs en Russie. Non. Il a pris la direction de Punta Cana selon les informations du journaliste Maxime Truman, une photo de soutien.
Et contrairement à Nick Suzuki et à sa fiancée, il ne reste pas dans un hôtel à 4000 dollars par nuit. Pas de suivi présidentiel -up, pas de coupe de champagne à 10 h
le prodige russe a opté pour la simplicité. Oui, Ivan Demidov ne voyage pas dans le luxe (voir la photo en bas de l’article). Oui, il se reposera dans un endroit modeste, loin des projecteurs, loin du jugement. Parce qu’après tout, ce qu’il veut, c’est respirer. En direct. Se détendre. Et reviens plus fort.
Alors que la douceur de Nick Suzuki Caitlin Fitzgerald se prélasse sur le luxueux Amanera (4 000 dollars par nuit, 28 000 $ par semaine) lorsqu’elle se rendra en République dominicaine, apparaissant avec Nick Suzuki dans un cadre qui rendrait Jay-Z et Beyoncé Pale, Demidov, a-t-il dit un Olympien calme. Il n’a pas besoin de dominer les réseaux sociaux. Il domine déjà la glace.
Et si les gens considéraient Suzuki sévèrement pour son engagement dans un palais tropical, aucun reproche n’a été envoyé à Demidov.
Pour quoi? Parce qu’il n’en fait pas un plat entier. Il ne publie rien. Il n’essaie pas d’éblouir. Il est en vacances, pas en représentation.
Et il faut dire qu’après avoir été «benchoté» en troisième période malgré une performance brillante, après avoir été utilisé à moitié de Martin St-Louis, ce petit voyage en République dominicaine a tout d’une bouffée d’air pur.
Il est difficile de ne pas comparer les deux symboles de Ch. Suzuki, le capitaine parfait, qui jongle les attentes, les responsabilités et maintenant la critique de ses choix de vacances.
Et de l’autre côté, Demidov, l’artiste silencieux, le phénomène qui a explosé le Bell Center de sa première présence, qui le joue «des vacances bon marché».
Lorsque Michel Bergeron a explosé de rage en apprenant que Suzuki préférait faire sa proposition de mariage plutôt que de représenter le Canada l’été dernier, une tempête médiatique est tombée sur le couple.
La future Madame Suzuki, Caitlin Fitzgerald, s’est retrouvée malgré elle au centre d’un débat sociétal sur le luxe, les priorités et la pression des médias.
Un an plus tard, Demidov a également choisi la République dominicaine avec remise. Juste la mer, le sable et une promesse pour elle-même: revenez avec le couteau entre vos dents.
Ce voyage est plus qu’un simple moment de relaxation. C’est une déclaration. En ne revenant pas en Russie, Demidov envoie un message clair à l’organisation du Canadien:
«Je suis ici pour rester et je ne prends pas le risque de retourner dans un pays synonyme d’une bombe à temps.»
Aucun risque d’être enfermé par Ska. Aucun danger de relecture politique. Pas de Rotenberg romain ou de Vladimir Poutine. Demidov a choisi la paix. Il a choisi Montréal. Et c’est un coup de maître.
Parfait! Voici deux paragraphes que vous pouvez insérer vers la fin du texte, juste après le passage sur Suzuki et Caitlin Fitzgerald. Cela fera une excellente transition vers la dimension humaine et intime du séjour de Summidov:
Et qu’en est-il de son amant? Après des mois à vivre dans l’ombre, à gérer la pression des médias en Russie et à supporter son homme dans les eaux troublées de la KHL, elle peut enfin souffler.
Complètement absent des réseaux sociaux depuis l’annonce du transfert de Demidov à Montréal, elle a rompu le silence avec ses premières publications en direct de Punta Cana: un ciel sans nuage, une mer turquoise, un sourire discret mais sincère. Elle ne dit rien, mais son visage dit tout. Elle peut enfin respirer. Elle peut enfin vivre.
Vous devez comprendre ce que cela signifie. Retourner en Russie pour elle n’était pas une option. Chaque décision a été pesée, chaque apparence calculée.
Rumeurs, menaces, tensions géopolitiques… Demidov n’était pas le seul à vivre dans une pression extrême. Sa blonde a également payé le prix du silence et de la prudence.
Aujourd’hui, il peut abaisser le soleil sans se cacher. Le simple fait de publier une photo au soleil est une victoire. Un symbole de liberté. Un baume. Un soulagement pour un clan entier.
Et bien que certains s’interrogent sur la gestion du temps de glace, l’endroit qui lui a donné dans les vestiaires, la stratégie de Martin St-Louis… Demidov, il garde la tête froide. C’est un joueur d’élite avec la patience d’un moine. Il sait que tôt ou tard, il sera le spectacle de ce vestiaire.
Ironiquement: dans cette saison des médias, c’est le plus jeune, le plus attendu, le plus fiévreux sur la glace qui est le plus serein à l’extérieur de la glace.
Alors que Suzuki est examiné pour chaque mouvement, chaque bague, chaque photo de ses hôtels de luxe, Ivan Demidov retrace discrètement son itinéraire. Et devinez quoi? Cela fonctionne.
Et pour les mauvaises langues, comme Michel Bergeron, qui ne voit dans Nick Suzuki que une «diva» de luxe, rappelez-vous un petit détail net: Demidov a volé… en classe économique.
Oui Monsieur. Pas de lodge privé, pas de jet milliardaire. Juste un siège standard, au bas de l’avion, comme tout touriste vers Punta Cana.
Un choix simple et modeste, qui contraste violemment avec les jugements hâtifs que nous y tenons déjà. Alors que d’autres dénoncent son style, sa passion, son contrat avec Warrior ou sa popularité soudaine, lui démontre par des gestes concrètes qu’il garde ses pieds sur le sol. Voici un jeune homme qui préfère l’apparition de l’authenticité. Et c’est tout en son honneur.
Parce que le vrai luxe n’est pas une suite à 4000 $ par nuit. Le vrai luxe n’est pas d’avoir à vous justifier. Et cela, Demidov l’a compris.