Après ses deux premières saisons avec les élites, il a de nouveau franchi un jalon lors de son retour aux sources. le deux-Sévrien Lucas Mainguenaud (21), qui s’est déroulé pour la pédale de saint-florentaise au cours de ses jeunes années, est retourné au giron d’une structure de vende pyramide qui est prouvée depuis plus de deux décennies.
Après avoir porté les couleurs du centre de formation Pays-de-La-Lorire parmi les juniors, le Forsitain, après ses deux années à Sojasun Espoir puis à Sco Dijon, a rejoint Vendée U, la pépinière de l’équipe professionnelle de Jean-René Bernaudeau, où son père Fred a couru à l’époque bonjour, maintenant parrainé par des énergies totales.
Un calendrier entre les courses d’élite et de pros
Une évolution plus qu’un simple changement de crémeux parce que la vende U a traversé le Rubicon cette saison en devenant un conti fédéral, l’invention de la fédération permettant aux clubs évoluant au niveau amateur le plus élevé de contribuer également aux classes 2 en France (le plus petit niveau professionnel) et même aux classes 1 à l’étranger. «C’est plus professionnelDit le petit-fils de l’ancien pro et l’élite actuelle Tom Mainguenaud. C’est simple, à la fin de la tournée du Loire-Cher, je pense que j’aurai plus de courses avec les pros que toute l’année dernière. C’est parfait pour le progrès. »»
Même si Lucas Mainguenaud, qui l’a gagné avec les élites de sa deuxième journée de course cette année à l’occasion de la scène Montaigu sur les plages de la vende et qui a pris le 15ee Place pendant le sprint massif du Grand Prix de Lillers en classe 2 le 9 mars, ne met pas le chariot avant les bœufs: «Passing Pro est dans un coin de ma tête mais je ne répète pas. Je prends les courses en arrivant à bien courir en classe 2 sur les courses plus longues.» »
-Lucas Mainguenaud (en première ligne et à gauche de son coéquipier) dans la troisième ascension du circuit final, qui commence de Molineuf vers Santenay.
© (Photo NR, Jérôme Dutac)
Une cuisine à Roubaix
Notez également que le coureur n’est pas satisfait de son début de saison: «Je ne peux pas le trouver trop régulièrement, avec des hauts et des bas. Oui, j’ai eu ma première victoire rapidement, mais je n’ai pas pu continuer. Et puis j’ai eu des galères les deux derniers week-ends, surtout ce dimanche dans les espoirs de Paris-Roubaix où j’étais dans le premier secteur… c’est très frustrant parce que je pense que je pouvais avoir joué à l’avant.
Parce que le garçon aime jouer à la victoire: «Lorsque vous êtes un sprinter-punker, vous devez gagner. Il peut donc être un peu disproportionné dans la classe 2, mais en tout cas j’ai l’intention de participer à des sprints massifs.» » C’est bien, si la première étape présente une finale très endommagée cette année au TLC, les arrivées au sprint sont plus que plausibles jeudi à Mont -t-Et-Chambord et dans Pruniers-en-Sologne jeudi: «Avec les dernières semaines, je ne sais pas si je pourrai être physiquement présent. Mais de toute façon, nous avons d’autres coureurs dans l’équipe qui sont en bonne forme. Nous devons marcher et nous essaierons de jouer sur chaque scène.» »
La Vendée U a reconnu la finale de la première étape en étant suivie par la voiture par un assistant de l’équipe.
© (Photo NR, Jérôme Dutac)