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Mobilisation timide contre l’interdiction du téléphone à l’école -.

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Un appel à la mobilisation contre l’interdiction des téléphones portables secoue les écoles secondaires du Québec même les élèves du secondaire n’ont pas droit de frapper. Cependant, le risque d’être puni n’a pas découragé les quelques-uns d’entre eux qui ont raté leurs leçons .

Il ne s’agit pas d’ droit ou non au droit de grève. Nous, en tant que direction, sommes là pour faire respecter la loiLance dans l’interview Carl Ouellet, présidente de la Québec Association of School Management Staff.

Au Québec, la loi sur l’éducation publique indique que Tout enfant résident du Québec doit fréquenter une école dès le premier du scolaire de l’année scolaire après cela lorsqu’il a atteint l’âge de 6 ans jusqu’au dernier jour du calendrier scolaire de l’année scolaire pendant laquelle il a atteint l’âge de 16 ans.

Les élèves veulent frapper contre l’interdiction du téléphone portable à l’école

Moteur Mai d’abordPremière heure

Mobilisation timide contre l’interdiction du téléphone à l’école -.

La loi prévoit également certaines exemptions, par exemple pendant une , à la demande des parents, en cas d’expulsion ou lorsqu’un élève reçoit un enseignement à la maison.

Les codes de conduite des établissements éducatifs prévoient des sanctions en cas d’absence injustifiée. Il est vraiment spécifique à chaque école, ce sont les règles de vie qui s’appliquent. Il peut s’agir de sanctions comme une suspension ou une reprise de coursexplains Carl Ouellet.

Nous, il est certain que nous voulons assurer la sécurité des étudiants, mais les leçons sont données de toute façonIl ajoute.

Peu de jeunes se sont mobilisés

Le risque d’être sanctionné et la pluie peut avoir découragé plusieurs étudiants à se manifester. Vendredi, au Québec, les centres de services scolaires (CSS) des découvreurs, des navigateurs et des premières seigneuries ont tous prétendu ne aucune différence significative dans leurs taux d’absentéisme respectifs.

Le CSS de Montréal pour sa part Quelques absences ici et làplus Rien d’organisation ou d’important.

Même histoire du côté de la Fédération du Québec des départements des établissements d’enseignement. Il y a très peu d’absence des étudiantsmentionne le président Nicolas Prévost, qui parle deUn mouvement très très mixte.

À l’école secondaire de la Seigneure, dans le secteur de Beauport, au Québec, un peu plus d’une douzaine d’élèves avaient pris le risque d’être sanctionné pour sortir de la pluie. Plusieurs affiches tenaient le slogan Nos écrans, nos droitsUn mouvement lancé par leur camarade de Nathan Verret.

Nathan Verret dans une interview.

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Nathan Verret, l’instigateur du mouvement de protestation contre l’interdiction du téléphone portable à l’école secondaire de la Seigneure.

Photo: Radio-Canada

Dans une interview, il a expliqué que les étudiants ne se sentent pas suffisamment écoutés par le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville. Personne d’autre que les lycées n’est affecté [sic] par cette loi. C’est vraiment juste nous que ça touche. Et on ne nous a jamais demandé notre avisIl est indigné.

Jeunes, nous sommes encore un peu trop sur notre téléphone portableadmet-il. C’est pourquoi je pense qu’au lieu de leur interdire à 100%, nous devons enseigner aux jeunes une façon plus intelligente de les utiliser.

À ses côtés, d’autres manifestants ont parlé des avantages de leur téléphone à l’école. J’ai un TDAHça m’aide à m’organisera lancé un étudiant. Ma mère m’a acheté un téléphone au primaire pour avoir toujours un contactajouter un autre.

Certains de leurs camarades de classe ne partagent pas leur opinion. Nous sommes juste toxicomanes [accros] les téléphones et cela prouve leur [si on manifeste]estime l’un d’eux. Ce n’est pas la meilleure solution, il vaut mieux aller avec les négociationsPour en ajouter un autre.

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Les étudiants du Québec n’étaient pas les seuls à rejoindre ce mouvement. En septembre-°, des dizaines d’étudiants ont participé aux rues du centre-ville pour démontrer leur désaccord.

Les jeunes étudiants démontrent sur Smith Street, en septembre-°.

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Les élèves ont démontré vendredi dans les rues de Sept-îles pour protester contre l’interdiction de cellulaire à l’école.

Photo: Radio-Canada / Bénédicte Filippi

À Mauricie, le CSS De Chemin-du-Roy ne mentionne pas un mouvement de boycott, mais cela indique qu’un groupe d’une vingtaine d’étudiants a démontré à l’heure du dîner l’école secondaire des pionniers.

À Lanaudière, le CSS Les affluents rapportent que deux écoles étaient le théâtre d’une manifestation. L’un a eu lieu entre deux périodes du matin et l’autre à l’heure du dîner. La plupart des élèves sont ensuite retournés en classe.

Pas la première grève secondaire de l’histoire

L’appel à la grève contre l’interdiction de Cellular à l’école n’est pas le premier mouvement du genre à toucher les écoles secondaires du Québec, rappelle Dupuis-Deri.

J’ai répertorié plus de 3000 au Québec et dans le dans le xxe avec 21e sièclessouligne ce professeur au Département des sciences politiques de laUqamqui vient de signer une bande dessinée qui retrace les grands révoltes dirigés par les étudiants au cours des dernières décennies.

Engagement politique envers le secondaire: une force inconnue, selon Francis Dupuis-Deré

Moteur Mai d’abordIl y aura toujours de la culture

Émilie Perreault smiles.

Parmi les mouvements les plus importants, il a cité, entre autres, la grève climatique en mars 2019 et les manifestations des élèves du secondaire en 1999 contre l’abandon d’activités parascolaires dans le contexte de l’enseignement des négociations syndicales.

Pendant les marches du climat, certains étudiants avaient également été sanctionnés pour des absences déraisonnées.

Le parcours de la marche sur le climat était passé devant Château Frontenac, au Québec.

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Une pour le climat devant Château Frontenac, au Québec. (Photo des archives)

Photo: Radio-Canada

D’autres mobilisations plus petites ont eu lieu, par exemple d’étudiants qui ont militaire contre le sexisme de leurs uniformes scolaires, maintient-il.

Les mobilisations ont eu lieu même si Ces étudiants ne sont pas autorisés à frapper, n’ont pas le même type d’organisation que nous avons par exemple au Québec parmi les associations étudiantes universitaires ou à CÉGEPRappelle M. Dupuis-Deérir.

Au lieu des associations qui ont la possibilité de tenir des réunions générales, nous trouvons dans les écoles secondaires, Au mieux ou pire, les conseils des étudiants qui sont élus mais qui sont toujours sous le contrôle d’au moins un adulte, qui en réalité n’a pas de pouvoir et qui sont une sorte de fausse structure démocratiqueRappelle le professeur.

Avec des informations de Canadian Press, Rosalie Sinclair, Charles Séguin et Diana Gonzalez

 
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