essentiel
Les Toros, qui restent sur deux victoires, ne sont plus relégués. Leur 8e place est fragile. Un succès à Boulogne, ce soir (20h30) à la maison, leur permettrait de le consolider.
> Le stade a trouvé son basket
Vendredi dernier, contre Charleville-Mézières, et encore plus mardi à Avignon, où ils ont montré une cohérence exemplaire, ce sont les Toros courageux qui ont gagné. Ceux qui dans chacun de leurs succès cette saison avaient pu étouffer leurs adversaires en défense. Le désir, la condition physique nécessaire pour donner à leur basket-ball la meilleure intensité, sont les ingrédients que les toursains ont actuellement. Car il n’y a aucune raison pour que ils les oublient dans le vestiaire Boulogne / Sea devrait en payer le prix.
Laurent Mopsus, l’entraîneur de Toulouse, est nécessairement ravi d’avoir trouvé son équipe: «Nous avions, comme toutes les équipes, un moment qui était difficile, très difficile même. Où je suis fier des joueurs, c’est que nous avons pu mettre en place les leviers pour trouver notre jeu, déjà. Et que nous avons gagné les matchs avec la qualité. Nous avons créé des conditions à l’avenir. C’est un engagement envers les autres, pour le club, de terminer cette saison.
> L’équipe à déverrouiller
Mais quatre jours à partir de la fin de ce groupe B, qui enverra les quatre dernières équipes de NM2, à l’exclusion du Pole France, tout comme le stade, Boulogne / Sea, 5e, 34 points, n’est toujours pas assuré de son entretien. Il n’a que deux longueurs devant les Bretons de Fougères, 10e et première relégation, qui sont à égalité avec le stade, 8e et Charleville, 9e. Soudain, vous devez vous attendre à un nouveau combat sévère. Le Boulonnais desserra rarement la vis de défense (comme celle du STB, c’est l’un des meilleurs de la poule) et comptera sur leurs meilleurs atouts offensifs Nolan Kingue, Victor Diallo, Maydden N’nah Ndong et Zidane Moore bien fournis dans des ballons par l’excellent rebondeur qui est l’ancien toursain Franck Yangue. Mais battu dans le match 72-45, en l’absence de Butler et d’Ouattara, les Toulousains veulent se venger.