Genève –L’Art Society attribue son prix à Shirana Shahbazi
La récompense est une biennale. Elle évalue une exposition avec catalogue. Né en 1974, Shirana veut être un photographe avant tout.

Publié aujourd’hui à 8h50

le gagnant. J’ai hardiment tourné la photo.
Photo gratuite des droits fournis par les arts des arts.
Abonnez-vous maintenant et profitez de la fonction de lecture audio.
Le prix est biennal. Il a reçu les années étranges depuis 2009. Les Genève Arts (SDA), puis ont fusionné ses divers prix afin d’éviter de s’effondrer et de créer un réel événement. Cela comprend une somme de 50 000 francs et une exposition à l’Athenaeum, détenue par la SDA, avec une publication. A Laïc conclave met in order to make the choice of 2025. The jury of the 9th edition was made up of its president Roxane Bovet, co-director of the Master Work program at the HEAD, Geraldine Tedder, director of the Kunsthalle de Winterthour, Pierre-Henri Foulon, curator at the MCB-A de Lausanne, Chus Martínez Basel, Fabian Boschung, artist of Neuchâtel et Séverine Coemigeat, directeur du musée Barbier-Mueller et représentant ici la Society of Arts. J’avoue que je ne connais pas certaines de ces personnes. Mais le monde de l’art contemporain en Suisse se révèle être aussi en herbe que le printemps actuel.
Incursions allemandes
L’équipe joyeuse a donc nommé Shirana Shahbazi, basé à Zurich. Le prix est en effet national. Il a déjà fait des incursions à l’étranger avec Mediengrupp Bitnik en 2017, Renée Levi en 2019 et Bea Schlingelhoff en 2023. Du collectif, nous n’avons pas entendu parler depuis. Quant à Bea, je conserve un souvenir consterné à la fois en raison de la cérémonie de remise des prix et pour une exposition qui tient une baise. Il faut donc espérer que Shirana Shahbazi marque les esprits autant que Renée Levi, qui a une aura internationale. Né à Téhéran en 1974, a grandi en Allemagne, formé au Hochschule Für Gestaltung und Kunst, Shirana vit donc à Zurich. Surtout, elle y pratique la photographie, mais aussi la peinture et l’installation architecturale. La femme a déjà obtenu le prix Meret Oppenheim en 2019. Il a été exposé dans les musées suisses et français ou britanniques. Pourtant, je ne me souviens pas avoir vu la chose unique dans les murs.
Voir en septembre
On sait peu de choses sur sa personnalité ou son art grâce au communiqué de presse, dont la revendication est également égale au vide. «Ses œuvres, avec une profondeur conceptuelle remarquable et transportées par des qualités plastiques d’excellence rare, reflètent la singularité d’une œuvre hybride et multiple, au carrefour des disciplines. Cette distinction accueille une approche audacieuse et visionnaire, qui continue d’inspirer le monde de l’art contemporain.» Admet que tout cela n’est pas très révélateur. Nous en saurons plus au moment de l’exposition, prévu pour septembre dans les chambres rassemblées de Crosnier et Saint-ORS. Le grand jeu! La SDA a toujours l’intention de vous faire l’eau à la bouche. «Shirana Shahbazi explore des thèmes tels que l’identité, la mémoire et les représentations culturelles à travers des compositions géométriques, des portraits et des paysages méticuleusement travaillés. Son travail remet en question les frontières entre la réalité et la perception.» Pour le moment, cependant, c’est toujours moi qui se demande…
Né en 1948, Etienne Dumont À Genève, des études qui n’ont pas été très utiles. Latin, grec, loi. Un avocat raté, il s’est étendu vers le journalisme. Le plus souvent dans les sections culturelles, il a travaillé de mars 1974 à mai 2013 au «Tribune de Genève», en commençant par parler du cinéma. Puis vint les beaux-arts et les livres. À part cela, comme vous pouvez le voir, rien à signaler.Plus d’informations
Avez-vous trouvé une erreur? Veuillez nous le signaler.