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«Nous vous appelons un minimum de décence» – Lequotidian -.

«Nous vous appelons un minimum de décence» – Lequotidian -.
«Nous vous appelons un minimum de décence» – Lequotidian -.
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Un groupe de 56 personnes désignés «université» ou «intellectuel», mais en réalité certains esprits douloureux, a fustigé président Macky Sall au Conseil de la Fondation Mo Ibrahim. Ils ont poussé ridicule et indécence jusqu’à publier un texte dans la presse, diffusant la rage, la haine et l’amertume, confrontés à la multiplication des honneurs faits au président Macky Sall, ancien président de la République de tous sénégalais, et donc les honneurs destinés au Sénégal, leur .

Dans ce texte, le non-vergogne rejoint la perfidie, car le sujet est boueux, l’approche inélienne et le fond contraire à la retenue et à la décence. Mais ce n’est que la continuation de la petite boueuse menée par ces hommes et ces pendant des années contre le président Macky Sall, son autorité, son évaluation résidentielle et son succès, nationaux et internationaux. Ces militants du chaos, déguisés en intellectuels du pétitionnaire, ne peuvent guère quitter la plate-forme après la fin de la réunion. Ils continuent leur très mauvais goût, pour se couvrir de ridicule.

Ils oublient que le temps des joutes électorales est derrière nous; Placez maintenant, pour le pouvoir en place qu’ils soutiennent, pour perpétuer le travail de Macky Sall. L’extension du BRT, le ter; La création de milliers de kilomètres de routes et des centaines de kilomètres d’autoroutes; La construction d’hôpitaux et d’universités de dernière génération qui répondent aux normes internationales; La promotion à des niveaux sans précédent d’équité territoriale et d’inclusion sociale, entre autres projets prioritaires, qui attendent le régime actuel.

Comme frappé par une grande déception, parce que leur guide perdu, Ousmane Sonko, n’est pas au , la cause des Revanchards et toujours rage… ils sont devenus l’incarnation d’un discours creux et vide de sa parce qu’ils sont lapidés et banals.

Tout le aura remarqué que le groupe de 222 universitaires, auteurs de pétitions prématurées, y compris celle de mars 2024, dénonçant la loi portant l’amnistie et appelant à son abrogation pure et simple en cas d’alternance, fondu comme neige au soleil. Il n’y a qu’un seul nuage de fantassins téméraires, assistés par les basses travaux, tandis que l’autre partie de la troupe est la Terre dans le confort de l’arrière-garde, préférant choisir la guerre par procuration.

Le parti Pastef a toujours trahi son discours et a renoncé sans convaincre l’abrogation de la loi d’amnistie. Au lieu de cela, sa majorité à l’Assemblée nationale a voté une loi déloyale appelée interprétation dont la seule volonté est d’absoudre les voyous pour pointer le doigt sur les forces de défense et de sécurité, armure républicaine le projet insurrectionnel d’Ousmane Sonko. Face à cette manœuvre, qui est une ruse avec les principes et les engagements d’hier, résonne le silence embarrassé des pétitionnaires…

Les pétitionnaires ont une immense responsabilité dans les événements des dernières années, par leur lâcheté, leur attitude excessivement partisane visant à dégrader l’image de l’intellectuel dont l’honneur réside dans la sacralisation de la vérité, des mesures et de la taille , loin de l’esprit de la cour et de la soumission à la loi de la rue et aux dogmes des réseaux sociaux.

Où étaient ces intellectuels lorsque l’université Cheikh Anta Diop a été profanée par des hordes sauvages? Ont-ils écrit la moindre ligne lorsque ce temple de la connaissance a été incendié par des groupes qui ont répondu au parti Pastef et ont exécuté ses appels permanents à l’insurrection? Ceux qui n’osaient pas sortir de leur réserve lorsque le lieu de fabrication et de diffusion des connaissances a été attaqué, décortiqué et brûlé ne peut décemment pas drapé le manteau de l’intellectuel ou de la toge de l’académique, comme ils ont cédé au compromis.

Face à toutes les arrestations et emprisonnement des militants, des militants politiques, des journalistes, des chefs d’entreprise, ces intellectuels ont pris la tangente, préférant se moquer du refuge du silence coupable.
À l’heure actuelle, de nombreux sénégalais sont victimes d’une interdiction illégale du territoire, qui n’est fondée sur aucune loi légale ou réglementaire. Mansour Faye, maire de Saint-Louis, ancien ministre, fait à l’objet d’une interdiction de voyager par une administration qui a piétiné une décision de justice rendue en sa faveur par le plus suprême de notre institution judiciaire, sans la plume des pétitionnaires. En effet, le jeudi 10 avril, lorsqu’il a reçu une décision du juge de la Cour suprême, la police lui a interdit à nouveau de voyager au mépris de l’état de droit. Là encore, les promoteurs de ce même état de droit, dans un texte du 23 février 2021, intitulé «La crise de l’état de droit au Sénégal», sont soudainement devenus des aphones.

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Le 4 avril, une déclaration d’extrême dangereux a été faite, demandant que la pression populaire sur les magistrats soit exercée. Motus et la bouche cousus de nos pétitionnaires, en rompre total avec leurs principes qui ont été proclamés en matière de séparation des pouvoirs et de l’indépendance de la justice.

Ces pétitionnaires, au cours des douze années du régime du président Macky Sall, ont constamment fait campagne pour la sortie du président de la République du Conseil supérieur de la magistrature. Aujourd’hui que le régime qu’ils soutiennent revient à cette promesse, les mêmes universitaires prétendent ne rien entendre et ne rien voir, trahissant leurs engagements d’hier au nom d’une invitation à la soupe du pouvoir.

Ces pétitionnaires déguisés en intellectuels sont en vérité des experts en vérités alternatives et en duplicité. Sinon, Abdoul Aziz Diouf, Benoît, le Samba Ndiaye, entre autres, aurait assumé leurs titres de militants de pastef et de membres de la majorité actuelle, car nommé dans diverses positions statiques d’État depuis le 2 avril 2024.

Mais qu’en est-il de des universitaires unis, maintenant obligés de montrer leur mauvaise foi en Open et de persister afin de plaire à leurs maîtres, en calomnie et en baignard?

Les attaques indignes contre le président Macky Sall, digne fils du Sénégal et parmi les dirigeants d’une moderne et conquérante, sont vaines et le resteront. Le symbole suggère, a déclaré le philosophe Ricœr. En effet, lorsque cette plate-forme de grossièreté indicible a été publiée, le président Macky Sall, au sommet de la Fédération pour la paix universelle, lors de l’invitation du prix de la paix de Sunhak, a livré à Séoul, dans la lointaine de Corée du Sud, une leçon inaugurale sur les défis de la réforme de la gouvernance économique mondiale. Il y a réitéré ses batailles sur une réforme nécessaire des mécanismes de la dette, pour permettre aux pays du Sud de relever le défi de la mobilisation des ressources pour le financement de leurs économies.
Le président Sall a promu la paix lorsque des esprits chétifs ont attaqué son honorabilité. Ils se déshonorent et menacent ainsi de déshonorer notre pays.

L’aclongation sans précédent de la dame désormais estampillée du sceau de la girouette nationale, puis d’une cohorte de plumitives, révèle une fois de plus l’incupement de ce régime et ses poursuites qui, incapables de répondre aux préoccupations les plus fondamentales des Sénégalais, deviennent dans le déni, le déni, la vulgation.

Un minimum de décence est nécessaire, car le spectacle qu’ils donnent de notre pays est regrettable.

Dans une tentative d’enterrer, aux yeux de nos compatriotes, la fierté que le président Macky Sall représente, à juste titre célébrée partout dans le monde, ils ont choisi l’ignominie de la calomnie… qui réussit seulement à ajouter au déshonneur des Sénégalais.
Par Hamidou Anne

 
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