RAPPORTAGE – Dans un climat post-électoral aux Etats-Unis, la plus grande foire d’art contemporain américaine s’est clôturée dimanche sur un bilan globalement positif. De quoi réconforter les riches collectionneurs acquis par le futur président mais inquiéter les minorités et les artistes, alors que le secteur subit un réajustement.
Dans le contexte post-électoral de Donald Trump, rassurant pour les uns, inquiétant pour les autres, Art Basel Miami Beach, la foire d’art moderne et contemporain, toujours prisée des collectionneurs désireux de bronzer en hiver et de goûter à la fête a fermé ses portes dimanche soir. une note plutôt positive. De quoi réconforter le marché après le plongeon des grandes soldes d’automne à New York, baromètre d’une année difficile sur le plan économique et géopolitique qui a fait chuter volumes et montants (1,3 milliard de dollars, contre 2,1 en 2023 et 3,2 en 2023). 2022). En revanche, les foires s’en sortent mieux. À l’image d’Art Basel Paris qui, en octobre, a misé sur une qualité de haut niveau comme s’il s’agissait de l’offre de la dernière chance avant la dégringolade.
De quel acte. Art Basel Miami Beach, n’échappant pas non plus à ce réajustement sévère, avait peut-être beaucoup à perdre. Elle s’en est plutôt bien sortie, mais…
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