des jeunes ont peint une fresque sur une tribune du stade de Sarlat

des jeunes ont peint une fresque sur une tribune du stade de Sarlat
des jeunes ont peint une fresque sur une tribune du stade de Sarlat

Ils étaient une douzaine, mercredi 30 octobre à 14 heures précises, à proximité du stade Saint-Michel de Sarlat (Dordogne), situé route de Montignac. L’objectif de l’après-midi ? Peignez une fresque murale sur la tribune en béton du stade.

« Au départ, nous voulions le faire sur le mur du complexe de La Canéda », révèle Toufik Benchenna, animateur de jeunesse au sein de l’intercommunalité. Mais ça aurait été derrière les buts de handball et on s’est dit qu’avec le ballon qui était tiré, il y avait un risque que la fresque s’effondre au bout d’un moment. »


Le nom de la ville a été peint.

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C’est donc à Saint-Michel qu’elle a été réalisée. « Nous avons fait le point avec Audrey Lobry, qui travaille au service des sports de la mairie, explique la responsable. Et c’est comme ça qu’on a décidé de faire ça sur la tribune du stade de football Saint-Michel ! »

Malgré l’existence d’un terrain à La Canéda, Saint-Michel est toujours occupé par l’école de football de Sarlat, mais aussi les seniors qui viennent s’y entraîner. C’est donc mercredi, de 14 heures à 17 heures, que les jeunes de l’intercommunalité ont fait usage de bombes et de pinceaux.

Bientôt un autre projet ?

« Au départ, ça devait durer deux jours », sourit Toufik Benchenna. Mais nous avons tellement progressé qu’en fin de journée de mercredi, c’était fini. » L’objectif affiché est de développer l’expression artistique chez les jeunes. « Et ils viennent vraiment de toute la Communauté de Communes », ajoute l’organisateur : Vézac, Marquay, Tamniès, Proissans et bien sûr Sarlat. » Âgés de 11 à 18 ans, ils ont passé l’après-midi ensemble.


L’un des objectifs était de renforcer la cohésion du groupe.

RD

« Cela renforce aussi la cohésion du groupe, qui était le deuxième objectif recherché », précise Toufik Benchenna. Mais il n’est pas question de faire quoi que ce soit. Sur cette fresque, le nom de la ville de Sarlat apparaît en rouge, sur fond bleu. «Nous avons eu de très bons retours», raconte l’animateur. Que ce soit de la part des jeunes, des parents ou du maire. »

Un succès qui pourrait appeler d’autres projets, sur une autre intercommunalité du secteur. «C’est en discussion», précise Toufik Benchenna. Mais si cela se produit, ce ne sera pas avant mi-2025.»

 
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